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            Mercuriale: Les prix des fruits et légumes explosent

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    Les prix des fruits et légumes ont explosé ces derniers jours, résultat autant de la spéculation, par manque de contrôle, que des effets de la persistance de la perturbation climatique qu’enregistre le pays, depuis maintenant trois semaines. Sur les principaux marchés de gros des régions  du pays, les prix ont atteint des sommets, et au détail, ils sont tout simplement inabordables pour les bourses modestes.  C’est  derniers  journées, également, «creuse»’ pour les marchés de gros, les prix étaient très hauts, à la limite de l’indécence. Ce sont les prix au détail des haricots verts, de la tomate et de la courgette qui sont les plus élevés sur un marché sans orientation, mais, surtout, marqué par la quasi-absence de contrôle des services du ministère du Commerce. Hier, la tomate était vendue en moyenne entre 170 DA/kg, le poivron à 120/140 DA/kg, la courgette à 170 DA/kg, la pomme de terre entre 60 et 70 DA/kg, ou le fenouil à 80 DA/kg. En général, tous les produits agricoles, qu’ils soient très ou peu consommés, ont vu leurs prix exploser, à l’instar de l’oignon qui est vendu entre 70 et 100 DA/kg. Même le piment (170 DA/kg), les petits pois (220 DA/kg) ou les fèves (100 DA/kg) et les carottes (70 DA/kg) sont inabordables. 

    Les raisons de ces hausses soudaines des prix sont autant relatives au mauvais temps que des prix de gros, qui ont augmenté durant cette période. Il y a, également le coût du transport qui est répercuté sur le prix final du produit. Car les produits agricoles mis sur le marché, entre novembre et février sont, pour la plupart, cultivés dans le sud du pays, en particulier à Biskra et El Oued, devenues les potagers du Nord durant la longue période hivernale. Est-ce, pour autant, une raison pour que les prix soient, à ce point, l’objet d’une féroce spéculation ? Les ministères de l’Agriculture et du Commerce doivent, en principe, réagir, rapidement, pour calmer le marché et le réguler de manière à faire retomber la fièvre actuelle des prix. D’autant que pour les fruits, c’est la même tendance, avec des prix assez élevés de l’orange (100 à 200 DA/kg), ou de la clémentine, qui, elle est cédée à 300 DA/kg, ou les pommes (plus de 240 DA/kg) ou les bananes (plus de 500 DA/kg). C’est dire que les prix des fruits et légumes restent très hauts, et, avec la cote du poisson tiré du congélateur, toujours aussi cher, cela fait beaucoup pour le panier de la ménagère. D’autant que cette surenchère frappe, sans distinction, tous les produits de large consommation, dont les œufs qui sont à 15 DA l’unité, ou le poulet entre 240-250 DA/kg. Bref, la mercuriale des produits agricoles, en cette fin de janvier 2017, et la persistance de la perturbation climatique, font que les marchés des fruits et légumes ont pris des allures de traquenard pour les petites bourses. D’autant que la qualité des produits, souvent, laisse à désirer, en raison du manque d’approvisionnement des marchés, suite aux difficultés de circulation sur les grands axes routiers, autant en raison des chutes de neige que celles assez fortes des pluies. L’emballement des prix des produits agricoles, au mois de janvier, concomitamment avec l’arrivée d’une grosse perturbation climatique, devrait impacter l’indice des prix à la consommation, qui serait en hausse de plusieurs points par rapport à celui de décembre 2016. Selon l’Office national des Statistiques (ONS), l’inflation s’était établie en forte hausse à 6,4% à la fin 2016, contre 4,8% en 2015 et 2,9% en 2014. L’évolution mensuelle de l’indice brut des prix à la consommation, en décembre 2016 par rapport à novembre 2016 s’est établie à 0,19%, résultat de la hausse des prix des produits alimentaires (+0,13%) et des biens manufacturés (+0,34%). Depuis le quatrième trimestre 2016, tous les clignotants étaient, en fait, dans le rouge. L’ONS explique dans sa dernière note, que la croissance des prix en décembre 2016 par rapport à la même période, en 2015, a bondi de 7%, résultant d’une hausse quasi généralisée des prix des produits de consommation, dont les produits agricoles. 

    Selon l’ONS, les prix des biens alimentaires ont augmenté de 4,3% en décembre 2016, par rapport au même mois de 2015, (3,7% pour les produits agricoles frais et 4,91% pour les produits agroalimentaires. 


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  •   Guelma . La SDE  FAIT de La communication avec ses  

     usagers

     PAR - Menani Mohamed

     

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    Les espaces de la maison de jeunes "Salah Boubnider" a abrité mardi dernier les travaux d'une journée d'étude et d'information,organisée par la société de distribution de l'électricité et du gaz de l'est (SDE-GUELMA). La manifestation qui a été rehaussée par la sobre présence de Mme Fatma Zohra RAIS,wali de Guelma,a regroupé des directeurs de l'exécutif , des opérateurs économiques et des représentants d'organisations professionnelles au niveau local.

       Les orateurs se sont relayés au pupitre pour présenter respectivement ,l'initiative d'ouverture d'un site web accessible aux usagers  et hébergeant une application pratique,l'instauration d'une cellule d'écoute et de communication,ainsi que des détails sur la formule de supervision des travaux de raccordement en énergie avec le recours obligé auprès d'un professionnel homologué.La nouvelle tarification de l'énergie mise en vigueur à partir du 1er avril 2016,a été expliqué fidèlement dans l'esprit de la décision de la commission de régulation de l'électricité et du gaz,fixant des tarifs à 4 tranches pour les abonnés dits "ménage" en basse tension et pression ,et 3 tranches pour les usagers "non ménage".
       Au volet de la compensation de l'énergie réactive,l'on apprend que les principaux consommateurs d'énergie réactive sont les abonnés domiciliant des installations renfermant des moteurs asynchrones ,les lampes à ballast magnétiques à fluorescence ou à décharge,les fours à induction et à arc ou encore les postes à souder .Des notions élémentaires ont été vulgarisées pour expliquer les terminologies  sur les facteurs de puissance active et apparente et les risques de prolifération des charges sur les réseaux , qui tendent à altérer le facteur de puissance. 
       La séance a été clôturée par un débat général où les usagers et autres acteurs agissant dans la filière de l'énergie,avaient soulevé leurs préoccupations quotidiennes,liées notamment à la sous alimentation en énergie,les cas de mini-coupures les chutes de tension ,les coupures fréquentes,les effets du délestage et autres désagréments  ayant un impact non commode sur les équipements installés des industriels ou des ménages . 

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  • Un député français de droite évoque le risque de «guerre civile» en France

      

      

    Pierre Lellouch : «Des morceaux du territoire échappent au droit de la république». D. R. 

    C’est sur un ton désabusé que Pierre Lellouch, député français des Républicains, a commencé sa communication au colloque sur le wahhabisme organisé par le Centre français de recherche sur le renseignement (CF2R) mercredi 18 janvier 2017 à Paris. On le comprend en écoutant la première question qu’il pose et à partir de laquelle il développe son exposé qui est en réalité une présentation de son livre Une guerre sans fin. Cette question est : «Pourquoi est-ce qu’aujourd’hui des jeunes gens nés en France, éduqués en France, peuvent prendre des armes et tuer soit là-bas soit en France ?». Il parle en termes d’«islam et Europe», c'est-à-dire une religion et un continent, n’admettant pas qu’en fait il s’agit des rapports entre pays musulmans et pays chrétiens. Pourtant, il évoque bien les premiers temps de la guerre entre les deux religions en référence à ce qu’il reconnaît être la guerre d’aujourd’hui.

    Pourquoi avoir colonisé l’Algérie ? Pourquoi tous ces ratages postcoloniaux de la part de l’Europe (qui expliquent, d’après lui, les «révolutions» de 2011 et les ratages de celles-ci) ? Ces questions et d’autres qu’il pose implicitement expliquent le passage de Pierre Lellouch à un ton désespéré, au bord de la déprime, qu’il emprunte dans la suite de sa communication. Il en veut à presque tout le monde. Il reproche au gouvernement français de droite en 1976 d’être à l’origine de la situation dans laquelle se trouve la France actuellement.

    Pour Pierre Lelouch, ce gouvernement a décidé en 1976 la suppression des barrières à l’émigration et autorisé le regroupement familial, transformant, selon lui, l’émigration de travail («pour les usines d’automobiles») en émigration de peuplement et fait passer le nombre d’émigrés de quelque 300 000 travailleurs musulmans d’Afrique du Nord à 5 à 6 millions ou probablement plus aujourd’hui, estime-t-il. Il en a résulté, affirme-t-il, «un changement du peuplement en France puisque l’islam s’installe de façon permanente». Pour lui, «c’est un grand retour par rapport à l’histoire du VIIe siècle avec une affirmation non seulement cultuelle, mais culturelle et un changement progressif des codes».

    Il constate – comme, dit-il, le décrit Manuel Valls – l’apparition de «morceaux entiers du territoire qui échappent au droit de la république, aux coutumes, à la langue, aux vêtements des Français, non pas parce que ça devient une zone de non-droit, mais parce que ça devient une zone d’un autre droit, et l’autre droit qui s’applique, ajoute-t-il, est un droit directement issu de l’islam». Il cite à ce propos les travaux de Gilles Kepel. Il cite également un récent rapport de l’Institut Montaigne sur cette question qui «montre qu’un bon tiers des musulmans en France considère que la charia a une valeur supérieure à la loi de la république» et, ajoute-t-il, selon sa lecture de ce rapport, la moitié en réalité souhaite qu’il en soit ainsi. Pour lui, la notion d’islam de France qu’ont essayé de construire les ministres de l’Intérieur successifs depuis 30 ans n’a aucun sens.

    Pierre Lellouch en veut par ailleurs aux «grands groupes californiens qui tiennent internet et qui sont directement complices dans cette guerre». Il leur reproche d’avoir «une responsabilité dans la propagande, les communications, dans l’organisation des attentats», puisque «tout passe par les réseaux informatiques modernes». Il dénonce la complicité entre la Silicon Valley et la barbarie de gens qui égorgent. Il reproche ensuite aux Européens d’avoir désarmé le continent.

    «Comment faire devant une population musulmane qui arrive en Europe et ne souhaite pas s’intégrer et qui, au contraire, souhaite même revendiquer davantage son identité via la religion ?» D’après lui, cette question tarabuste toute l’Europe et, conclut-il, personne ne sait régler ce problème. Il transpose son angoisse à l’avenir du Moyen-Orient (en excluant implicitement l’entité sioniste de cet ensemble). Que reste-t-il ? Soit le risque de guerre civile en France au moment où «ça va déraper», comme le pense, dit-il, le chef des renseignements français, avec le retour de «là-bas» des djihadistes français ; soit l’autre risque, celui de guerre internationale dans laquelle la France serait entraînée. Il termine en revenant au sujet du colloque, qui est l’Arabie Saoudite wahhabite, pour déceler la contradiction de fond de ce royaume qui est d’être wahhabite et protégé par les États-Unis.


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  • Instituts et médias américains unanimes sur la fin du règne de Bouteflika (II)

                                                              
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    "News week ", prestigieux magazine généraliste américain, est revenu pour sa part, dans une édition du 5 février, sur la situation qui prévaut dans notre pays, et sur la question "non tranchée" de la succession de Bouteflika.

    2- "News week" pointe également la lutte du pouvoir en Algérie et la "détérioration de la santé mentale de Bouteflika" !

    Autrefois unis pour le meilleur, les cercles du pouvoir ne semblent plus vouloir continuer dans "le pire" de l’incertitude. "Mais les tensions croissantes entre ces piliers centraux du pouvoir, qui dans le passé se sont fortement appuyés l'un sur l'autre, ont déstabilisé le leadership, tout comme il (le pouvoir, Ndlr) est confronté au défi de mettre en œuvre des réformes économiques indispensables", écrivait Max Wray, l’auteur du dossier.

    "Certains croient que c'est son frère, Said, qui prend les décisions"

    Pour l’analyste de l’institut Alaco (a London-based business intelligence consultancy ), la source évidente d'instabilité est "la santé défaillante du président Abdelaziz Bouteflika, qui a dirigé le pays depuis 18 ans. Bouteflika, qui a près de 80 ans". Pour cet observateur, la santé du président algérien "est mauvaise depuis plusieurs années". Sa santé mentale s'est détériorée", soutient-il. Ses partisans maintiennent que c’est bien lui qui contrôle, "mais certains croient que c'est son frère, Said, prend les décisions", croit savoir le magazine. Toute cette situation attise les discordes et les convoitises entre les différents clans du pouvoir "entre les services de renseignement, l'armée et le bureau de la présidence."

    La corruption "véritable maladie économique algérienne", et les politiques croulent sous la richesse !

    Toutefois, l’auteur de l’article souligne le peu de vision politique qu’ont les dirigeants algériens, préoccupés "par leurs manœuvres internes et nerveux de changement, et ont montré peu de volonté politique pour mettre en œuvre les réformes". La prévalence de la corruption est la "véritable maladie économique algérienne" selon Max Wray. Avec leur sens du droit, "l'élite politique croule depuis longtemps sous la richesse, généralement par la sur-facturation sur les importations et les exportations". "Le projet de développement phare de l'Algérie, la route Est-Ouest, a provoqué un grand malaise national", remarque-t-il. Initialement prévu pour un budget de 6 milliards de dollars, "le projet a finalement achevé pour un prix de près de 15 milliards de dollars, ce qui en fait la plus coûteuse dans le monde", constate l’analyste.

    Enfin, l’auteur du dossier pense qu’un "changement à la tête du pays est imminent, une fois que les dirigeants du pays régleront leurs différends, mais n’auront pas d'autre choix que d'affronter sérieusement les maux dominants du pays" conclut-il.

    3- Thé National Review prédit un printemps arabe tardif en Algérie :

    Pour le magazine politique américain, fondé en 1955 et qui serait le magazine d’opinion "le plus lu et le plus influent" des États-Unis, l’Algérie est à la veille d’un printemps arabe imminent. Outre la question de la maladie de Bouteflika et la lutte intestine pour sa succession, ce sont les maux sociaux qui seraient l’étincelle à faire sauter la maison Algérie.

    Pour Benjamin Weinthal, l’auteur de cet article, "une série d'opérations antiterroristes à peine remarquées, des grèves et des protestations sociales en Algérie en janvier ont montré que le pays nord-africain pourrait être confronté à une année de bouleversement. Six ans après l'éviction des dirigeants des autres pays nord-africains de la Tunisie et de l'Egypte, l'instabilité en Algérie pourrait entraîner le renversement de son vieux président", renchérit le chercheur à la Fondation pour la défense des démocraties.

    "L'emploi des jeunes est de l'ordre de 32 % seulement, et la volonté de la jeune génération d'effectuer un changement dans l'Algérie stagnante pourrait conduire à une nouvelle révolte".

    Le rapport sur le développement humain arabe des Nations unies de décembre 2016 a examiné l'Algérie et la catégorie d'âge 15 à 29. The Economist a écrit à propos de ce document: "Les Arabes ne représentent que 5% de la population mondiale, mais environ la moitié du terrorisme mondial et des réfugiés en provient. "Des avertissements ont été émis concernant une implosion en cours en Algérie et un flot de migrants en Europe", écrit le magazine. Le mélange dangereux de "l'islamisme radical, l'instabilité économique et l'agitation croissante des jeunes pourraient être la recette d'une nouvelle révolte arabe en Afrique du Nord", conclut l’auteur de l’article.

    2- Tensions Rise As Algeria’s Leaders Feud And The Economy Stagnates 

    3- Will the Next Arab Revolt Be in Algeria? 


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  • قالمة / على خلفية العثور على  مجموعة من وثائق المواطنين ممزقة داخل احدى المكاتب بالمحافظة العقارية
    مصالح امن الولاية تفتح تحقيق في  القضية
    علمت ايدوغ من بعض المصادر ان مصالح الامن لولاية قالمة تكون قد باشرت في فتح تحقيق  في قضية العثور على كيس بلاستيكي يحتوي على المائات من الدفاتر العقارية و وثائق اخرى ممزقة داخل احدى المكاتب بالمحافظة العقارية لولاية قالمة  في الوقت الذي يعاني منه المواطنين من اختفائ وثائقهم في ظروف غامظمة و التي غالبا ما تتم بفعل فاعل ليجد بعدها المواطن البسيط  نفسه في دوامة لا اول و لا اخر لها بسبب اختفاء وثائقه العقارية
    و قدتحولت هذه القضية الخطيرة و التي طالما شغلت الراي العام و لا سيما م منهم الذين عانوا و لازالو يعانون من البيروقراطية التي تفرضها عليهم هذه الادارة و التي تحولت الى امبراطورية باتم معنى الكلمة
      حيث يوجد حاليا المائات ان لم نقل الالف من المواطنين لم تسلم لهم وثائقهم و عقودهم منذ عشرات السنسن و في المقابل يوجد اشخاص اخرين  من ذوي النفود تسلم لهم وثائقهم بعد لحظات من ايداعهم طلباتهم و هو ما تتوفر عليه ايدوغ نيوز من وثائق تثبت ذلك لا سيما منها تعليمة المدير العام للاملاك الوطنية رقم 07320 و م / م ع أ و / م م ع م ا  االصادرة بتاريخ 29/06/2009 و التي تتعلق بتسليم المعلومات و نسخ الوثائخ من طرف المحافضين العقاريين و التي جاءت على ضوء لشكوات التي تقدم بها المواطنين بسبب عدم استجابة  بعض المحافظات العقرية  بطريقة منظمة و سريعة لطلبات تسليم المعلومات و نسخ الوثائق و التي اكد من خلالها المدير العام للاملاك الوطنية ان  ارد على الطلبات اجباري في  اجل لا يتعد في اي حال من الاحوال 15 يوم من تاريخ الطلب
    فرغم هذه التعليمة الواضحة الا انها لم تاخذ بعين الاعتبار بمحافظة ولاية قالمة و ضربت بها عرض الحائط و يبقى لمواطن البسيط هو من يدفع فاتورة هذا الاهمال المفروض عليه  في غياب ادنى اعتبار له . وفي  هذا الصدد  تلقينا العديد من الشكاوي من طرف المواطنين و التي يتهمون فيها مباشرة رئيسة فرع المسح بالمحافظة العقارية التي قالت الرسائل في شانها انها ترفض رفضا قطعا منح المواطنين الوثائق التي يطلبونها  رغم تسديدهم للرسوم الخاص بها في السنة الماضية (2016) متهميننها بانها هي من قامت بتمزيق البطاقات العقارية

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