•     L’ALGÉRIE IMPORTE DE GRAVIER DEPUIS L 'INDE

     

    Papier Peint, Fond, Texture, Résumé

    Non, ce n’est pas une blague ! L’Algérie importe bel et bien depuis l’Inde une importante quantité de (vous ne rêvez pas) GRAVIER!

    Au moment où l’on entend dans tous les coins et à chaque déclaration de responsable le fameux mot « austérité », un chargement de 5.000 tonnes de gravier en provenance de l’Inde est attendu en ce mois de février au port d’Alger, a appris Alg24.

    L’expédition se fera en multimodal depuis le port indien de Mundra. Un appel d’offres a été lancé sur freightnet pour les compagnies de transport de marchandises pour assurer l’expédition des 5.000 tonnes de gravier.

    La question qui intrigue encore, qui sera à la réception de ces cailloux au port d’Alger ?

    Camion, Décharger, Gravier
     
     
     

     


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  • L’islamisme, un totalitarisme d’un genre nouveau ?

      

    L'islamisme est parti à la conquête du monde.

     

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    Nous assistons depuis quelques années à une fusion presque totale entre l’Islam et l’islamisme, l’Islam qui est une religion et donc une spiritualité et une foi a été investi par les intérêts politiques et politiciens. 90 ans nous séparent du manifeste d’Al Banna (Fondateur des Frères Musulmans) dans lequel sont énumérés 50 propositions dignes d’un programme politique totalitaire et qui sont largement disponibles sur internet pour le lecteur qui souhaiterait en prendre connaissance. 90 ans donc après la fondation du mouvement des Frères Musulmans, l’Islam a été totalement avalé par l’idéologie fasciste de ce mouvement qui n’a jamais été aussi dynamique et triomphant que durant ces dernières années. Les musulmans en recherche de repères identitaires sont systématiquement noyés dans cette idéologie qui a remplacé l’Islam en tant que foi et qui prétend, comme tout totalitarisme, avoir réponse à tout.

    Car ce que l'on appelle communément ''islamisme'' est une idéologie qui ressemble beaucoup au fascisme et aux totalitarismes dans sa trame idéologique et dans ses pratiques. L'islamisme, comme les idéologies totalitaires du siècle passé, vise la domination totale de la société. Il exige ainsi la soumission de tous les membres de la société. L'islamisme comme les totalitarismes use de la terreur, de l'intimidation et de la persécution afin de détruire toute individualité, il vise à effacer la liberté d'opinion et de pensée, la créativité et toute sorte de spontanéité afin de faire de la société une ''masse'' prévisible et malléable. L'islamisme en tant que parent du nazisme et du communisme vise à ''transformer'' l'homme et la société, créer une nouvelle race de croyants au dévouement infaillible. L'islamisme n'est pas une religion, c'est une idéologie politique extrémiste qui comme le communisme promet l'avènement d'un ''paradis terrestre'' qui serait possible si les lois de Dieu étaient appliquées (Les lois de la nature pour le nazisme, les lois de l'histoire pour le communisme).

    Comme pour toute idéologie, l'islamisme est manichéiste et propose une vision du monde extrêmement simpliste dans laquelle il y a toujours un ''autre'' à abattre. Comme les idéologies totalitaires, l'islamisme a besoin de se créer un ennemi ultime qui serait à l'origine des maux de la société. La disparition de cet ennemi est l'objectif à atteindre afin d'aboutir à une société idéale et fantasmée dans le récit de cette idéologie. C'est ainsi que l'islamisme va se créer ses ennemis ultimes qui seront l'intellectuel, le francophone, les femmes non-voilées, les chanteurs et les artistes de façon générale, les journalistes, les laïques, les démocrates, les communistes, les adolescents ''occidentalisés'', les libres penseurs, les écrivains... Toutes ces catégories très générales de personnes seront rassemblées dans le même sac, celui de ''l'ennemi des lois de Dieu'', le déviant. C'est ainsi que va apparaître une panoplie de termes désignant toutes sortes de déviances (moul'hid, zendiq, kafer, âssi...)

    L'islamisme est un syncrétisme ingénieux qui rassemble les techniques des fascismes et des totalitarismes tout en alliant celles des intégrismes religieux. L'ingéniosité de l'islamisme c'est qu'il réussit à transformer en bourreaux 50 % de la population contre les autres 50%. En développant une propagande axée sur les femmes et leur obligation de soumission, l'islamisme pousse la moitié de la population à se transformer en une sorte de ''police des mœurs'' persécutant la femme afin que celle-ci se soumette aux ''Lois de Dieu''. Car l’ambition de l'islamisme comme toute idéologie totalitaire est la domination totale de la vie sociale en en contrôlant les moindres manifestations, jusqu'aux plus intimes. C'est ainsi que dans une société qui vit sous l'islamisme, les rapports intimes entre les hommes et les femmes sont strictement encadrés, les couples sont persécutés. Cette obsession de contrôler la vie sexuelle est la même pour toute autre manifestation sociale (éducation, culture...) et fait partie du souci de soumettre la totalité de la société en détruisant toute existence possible d'une quelconque liberté.

    Face à la marche triomphante que connaît le fléau islamiste, il est aujourd’hui plus que jamais nécessaire de protéger l’Islam et les musulmans de ce totalitarisme d’un genre nouveau. Dans beaucoup de pays dans le monde les musulmans voient croître le rejet et la méfiance car aujourd’hui l’Islam est allié au terrorisme et à l’intolérance. Ces amalgames nous les devons en partie aux images que donnent les islamistes non seulement de la religion musulmane mais plus généralement de toute culture issue d’un pays musulman. Nous devons aujourd’hui prendre conscience que les islamistes salissent l’image de millions de musulmans dans le monde et que cela a assez duré, nous ne devons plus accepter que des prédicateurs marchands de religion et des hommes politiques avides de voix parlent en notre noms. Les musulmans doivent prendre aujourd’hui conscience qu’ils ne peuvent plus rester passifs face à l’islamisme galopant, prendre position et dénoncer peut déjà constituer une bonne réaction pour une communauté qui a trop longtemps été absente du débat.


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  • Algérie : décès de l’ancien Premier ministre Smaïl Hamdani

    08 février 2017 à 2019

    Par Farid Alilat

     

     

     

    Il s'est éteint dans la nuit du lundi au mardi 7 janvier, selon l’agence APS. Retour sur le parcours d'un ancien diplomate devenu le premier Premier ministre d'Abdelaziz Bouteflika, d'avril à décembre 1999.

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    Né le 11 mars 1930 à Bordj Bou Arreridj, il a commencé sa carrière en 1962 en tant que conseiller juridique du ministre de l’Information. Il assume par la suite plusieurs postes, au sein du Ministère des Affaires étrangères et au secrétariat général du gouvernement. Puis en 1983, il est nommé ambassadeur à Stockholm pour un an, et à Madrid ensuite. Il effectue sa plus longue mission diplomatique à Paris, où il reste trois ans, de 1989 à 1993.

    Il revient sur le devant de la scène en décembre 1998. Démissionnaire depuis septembre, le président Liamine Zeroual décide de nommer un nouveau gouvernement, qui serait un gage de probité et de transparence en perspectives des élections présidentielles d’avril 1999. Diplomate, sénateur, homme affable, Smaïl Hamdani présente le profil idéal. Élu à la magistrature suprême,  . Les tractations durent jusqu’au mois de décembre 1999, avant la nomination d’un nouvel exécutif dirigé par Ahmed Benbitour.

    Un homme discret 

    Un ancien ministre se souvient de Hamdani comme d’un homme très proche de son équipe, n’hésitant pas à tenir tête au chef de l’État pour défendre ses ministres que celui-ci pouvait parfois malmener. Lorsque Bouteflika tient son premier conseil des ministres en juin 1999, il annonce aussitôt à Hamdani son intention de limoger le ministre de la Culture et de la Communication, Abdelaziz Rahabi, à qui il reproche d’être un « ami de la presse ». Réponse de Smaïl Hamdani : « M. le Président, je suis très satisfait du travail de mon ministre. Nous n’avons pas de problèmes avec la presse et je n’ai pas à me plaindre de lui. »

    Après son départ du gouvernement en décembre 1999, ce licencié en droit s’astreint à une obligation de réserve qu’il ne rompt que très rarement. Discret, l’ancien cadre du Malg (Ministère de l’armement et des liaisons générales), ancêtre des services secrets, se tenait loin de la scène politique nationale. Il consacrait son temps à ses recherches académiques au sein de l’École nationale d’Administration (ENA).

    Conflits d’intérêts 

    Pendant l’été 2011, à l’époque où le président Bouteflika avait lancé une série de consultations pour élaborer une nouvelle constitution, Smaïl Hamdani avait plaidé pour une loi sur les conflits d’intérêts entre les politiques et les forces de l’argent. Il avait également plaidé pour un nouveau régime politique, «qui ne sera[it] ni tout à fait présidentiel, ni tout à fait parlementaire non plus ».

     


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            Mercuriale: Les prix des fruits et légumes explosent

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    Les prix des fruits et légumes ont explosé ces derniers jours, résultat autant de la spéculation, par manque de contrôle, que des effets de la persistance de la perturbation climatique qu’enregistre le pays, depuis maintenant trois semaines. Sur les principaux marchés de gros des régions  du pays, les prix ont atteint des sommets, et au détail, ils sont tout simplement inabordables pour les bourses modestes.  C’est  derniers  journées, également, «creuse»’ pour les marchés de gros, les prix étaient très hauts, à la limite de l’indécence. Ce sont les prix au détail des haricots verts, de la tomate et de la courgette qui sont les plus élevés sur un marché sans orientation, mais, surtout, marqué par la quasi-absence de contrôle des services du ministère du Commerce. Hier, la tomate était vendue en moyenne entre 170 DA/kg, le poivron à 120/140 DA/kg, la courgette à 170 DA/kg, la pomme de terre entre 60 et 70 DA/kg, ou le fenouil à 80 DA/kg. En général, tous les produits agricoles, qu’ils soient très ou peu consommés, ont vu leurs prix exploser, à l’instar de l’oignon qui est vendu entre 70 et 100 DA/kg. Même le piment (170 DA/kg), les petits pois (220 DA/kg) ou les fèves (100 DA/kg) et les carottes (70 DA/kg) sont inabordables. 

    Les raisons de ces hausses soudaines des prix sont autant relatives au mauvais temps que des prix de gros, qui ont augmenté durant cette période. Il y a, également le coût du transport qui est répercuté sur le prix final du produit. Car les produits agricoles mis sur le marché, entre novembre et février sont, pour la plupart, cultivés dans le sud du pays, en particulier à Biskra et El Oued, devenues les potagers du Nord durant la longue période hivernale. Est-ce, pour autant, une raison pour que les prix soient, à ce point, l’objet d’une féroce spéculation ? Les ministères de l’Agriculture et du Commerce doivent, en principe, réagir, rapidement, pour calmer le marché et le réguler de manière à faire retomber la fièvre actuelle des prix. D’autant que pour les fruits, c’est la même tendance, avec des prix assez élevés de l’orange (100 à 200 DA/kg), ou de la clémentine, qui, elle est cédée à 300 DA/kg, ou les pommes (plus de 240 DA/kg) ou les bananes (plus de 500 DA/kg). C’est dire que les prix des fruits et légumes restent très hauts, et, avec la cote du poisson tiré du congélateur, toujours aussi cher, cela fait beaucoup pour le panier de la ménagère. D’autant que cette surenchère frappe, sans distinction, tous les produits de large consommation, dont les œufs qui sont à 15 DA l’unité, ou le poulet entre 240-250 DA/kg. Bref, la mercuriale des produits agricoles, en cette fin de janvier 2017, et la persistance de la perturbation climatique, font que les marchés des fruits et légumes ont pris des allures de traquenard pour les petites bourses. D’autant que la qualité des produits, souvent, laisse à désirer, en raison du manque d’approvisionnement des marchés, suite aux difficultés de circulation sur les grands axes routiers, autant en raison des chutes de neige que celles assez fortes des pluies. L’emballement des prix des produits agricoles, au mois de janvier, concomitamment avec l’arrivée d’une grosse perturbation climatique, devrait impacter l’indice des prix à la consommation, qui serait en hausse de plusieurs points par rapport à celui de décembre 2016. Selon l’Office national des Statistiques (ONS), l’inflation s’était établie en forte hausse à 6,4% à la fin 2016, contre 4,8% en 2015 et 2,9% en 2014. L’évolution mensuelle de l’indice brut des prix à la consommation, en décembre 2016 par rapport à novembre 2016 s’est établie à 0,19%, résultat de la hausse des prix des produits alimentaires (+0,13%) et des biens manufacturés (+0,34%). Depuis le quatrième trimestre 2016, tous les clignotants étaient, en fait, dans le rouge. L’ONS explique dans sa dernière note, que la croissance des prix en décembre 2016 par rapport à la même période, en 2015, a bondi de 7%, résultant d’une hausse quasi généralisée des prix des produits de consommation, dont les produits agricoles. 

    Selon l’ONS, les prix des biens alimentaires ont augmenté de 4,3% en décembre 2016, par rapport au même mois de 2015, (3,7% pour les produits agricoles frais et 4,91% pour les produits agroalimentaires. 


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  •   Guelma . La SDE  FAIT de La communication avec ses  

     usagers

     PAR - Menani Mohamed

     

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    Les espaces de la maison de jeunes "Salah Boubnider" a abrité mardi dernier les travaux d'une journée d'étude et d'information,organisée par la société de distribution de l'électricité et du gaz de l'est (SDE-GUELMA). La manifestation qui a été rehaussée par la sobre présence de Mme Fatma Zohra RAIS,wali de Guelma,a regroupé des directeurs de l'exécutif , des opérateurs économiques et des représentants d'organisations professionnelles au niveau local.

       Les orateurs se sont relayés au pupitre pour présenter respectivement ,l'initiative d'ouverture d'un site web accessible aux usagers  et hébergeant une application pratique,l'instauration d'une cellule d'écoute et de communication,ainsi que des détails sur la formule de supervision des travaux de raccordement en énergie avec le recours obligé auprès d'un professionnel homologué.La nouvelle tarification de l'énergie mise en vigueur à partir du 1er avril 2016,a été expliqué fidèlement dans l'esprit de la décision de la commission de régulation de l'électricité et du gaz,fixant des tarifs à 4 tranches pour les abonnés dits "ménage" en basse tension et pression ,et 3 tranches pour les usagers "non ménage".
       Au volet de la compensation de l'énergie réactive,l'on apprend que les principaux consommateurs d'énergie réactive sont les abonnés domiciliant des installations renfermant des moteurs asynchrones ,les lampes à ballast magnétiques à fluorescence ou à décharge,les fours à induction et à arc ou encore les postes à souder .Des notions élémentaires ont été vulgarisées pour expliquer les terminologies  sur les facteurs de puissance active et apparente et les risques de prolifération des charges sur les réseaux , qui tendent à altérer le facteur de puissance. 
       La séance a été clôturée par un débat général où les usagers et autres acteurs agissant dans la filière de l'énergie,avaient soulevé leurs préoccupations quotidiennes,liées notamment à la sous alimentation en énergie,les cas de mini-coupures les chutes de tension ,les coupures fréquentes,les effets du délestage et autres désagréments  ayant un impact non commode sur les équipements installés des industriels ou des ménages . 

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