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    Un acte choquant, révoltant. Les âmes sensibles devraient s’abstenir.

    un jeune algérien lâche son chien sur un enfant de 5 ans à peine. Terrorisé, cet enfant lance des cris de panique et tente de se dégager des dents de cet animal, sans toutefois y parvenir.

    Pis encore, l’enfant se fait mordre sur les regards amusés des jeunes, tandis que le jeune incite son chien à lui courir après dès que le petit se met à courir.

    Une vidéo qui n’a pas manqué de faire réagir les internautes, indignés, qui dénoncent cet acte « sauvage et bête ». Certains étaient scandalisés du comportement de ce jeune algériens. D’autres internautes appelaient même au jugement de l’auteur de cet acte devant un tribunal.


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  • Lourdes peines requises contre les accusés, le procureur défend le DRS

     
    tribunal criminel Alger - TSA Algérie

     le 02 mai 2015

    Le procureur de la république a prononcé, ce vendredi 1er mai, son réquisitoire devant le tribunal criminel près la Cour d’Alger dans le cadre de l’affaire de l’autoroute Est-Ouest.

    Allant d’un à vingt ans de prison et d’un à huit millions de dinars d’amendes, les peines requises sont tombées comme un couperet sur les espoirs de certains prévenus.

    « Les accusés n’ont, peut-être, pas fait attention aux évolutions en matière de répression de ces crimes et n’ont pas mis dans leur tête qu’ils pourraient être un jour découverts. Le dossier comporte 24 boites de documents et ils disent qu’il n’y a rien ! », assène d’emblée le procureur M. Benmhidi qui commence par rappeler le contexte de l’affaire.

    Début des années 2000, l’Algérie commence à connaître une aisance financière et le lancement de grands projets d’infrastructures. Le procureur évoque la crise économique en Europe et les entreprises étrangères en concurrence pour venir investir en Algérie. Entre temps, les magistrats avaient également été formés pour ce genre d’affaires.

    Pour lui, il ne s’agit pas de l’affaire de l’autoroute Est-Ouest. Celle-ci n’est qu’une partie d’une grande affaire de corruption qui touche également d’autres secteurs. « Et nous ne sommes pas devant de simples gens, dit-il, Chani est un expert financier, Khelladi est également un expert et a des diplômes », dit-il.

    « Une référence dans la lutte contre le terrorisme »

    Le procureur de la République a salué à maintes reprises le travail du juge d’instruction et démonter l’argumentaire des avocats de Chani Medjdoub qui a évoqué des actes de torture pendant la garde à vue.

    « La police judiciaire a fait son travail ! Ce genre d’affaires est devenu comme un cancer ! La police judiciaire fait des investigations et la justice enquête ! », lance le procureur qui refuse de parler de police judiciaire du DRS, de la gendarmerie ou de la sûreté nationale mais de police judiciaire tout court.

     « Cette police judiciaire est devenue une référence en matière de lutte antiterroriste, pourquoi ne deviendrait-elle pas une référence en matière de lutte contre la corruption ? », lâche-t-il. Aux avocats de la défense qui ont réclamé l’annulation du PV de la police judiciaire du DRS, le procureur rappelle qu’il est là à titre indicatif.

    La torture… un disque ressassé

    Dans le PV de la police judiciaire, Chani Mejdoub est notamment accusé de « constitution d’association de malfaiteurs », de « blanchiment d’argent », « d’humiliation et d’atteinte aux institution de l’État » et « d’intervention dans des fonctions militaires », précise-t-il en rappelant que ces deux derniers chefs d’inculpation n’avaient pas été finalement retenus par le parquet.

    Chose qui prouve, selon lui, que la « qualification » des faits ne relève pas des services de la police judiciaire mais du parquet. Selon lui, l’arrestation de Chani Medjdoub a eu lieu le 28 septembre 2009. « Rien dans le dossier ne prouve qu’il y a eu arrestation le 17 septembre 2009 », dit le procureur. Il ajoute que les autorisations de prolongation de la garde à vue et les mandats de perquisition figurent dans le dossier.

    « Le juge d’instruction que je salue encore une fois pour les précisions des informations a donné le droit à chacun de parler ou de refuser de parler (en l’absence de son avocat, NDLR) », poursuit-il. Pour les déclarations devant le juge d’instruction qui seraient faites sous la dictée comme ont avancé certains prévenus, le procureur affirme: « Dans le bureau du juge d’instruction, il n’y ni police, ni sécurité militaire, ni gendarmerie ! »

    Pourquoi le neveu de Chani n’est pas venu témoigner ?

    Les accusations de torture formulées par Chani contre des officiers de la police judiciaire du DRS ? « Un disque ressassé par tous les accusés » même quand il s’agit la police ou de la gendarmerie, estime le procureur de la République qui relève un détail.

    « L’accusé Chani a dit qu’il a fait objet de torture et a parlé de son neveu (qui aurait lui aussi fait l’objet de torture, NDLR). Dans le dossier, on ne retrouve pas la trace d’une demande de convocation pour écouter Chani Larbi (neveu) », relève le procureur qui rappelle que même le ministre des Travaux publics a été interrogé sur la demande de certains avocats.

     « On a vu que les accusés nient le fait qu’ils se connaissent ! Chani dit qu’il n’avait aucune relation avec le groupe chinois en Algérie. Même le groupe chinois dit qu’il n’a qu’un petit bureau (à Pekin) », indique-t-il. Tout au long de son réquisitoire qui a duré plus de deux heures, le représentant du ministère public s’est attelé à démontrer les liens entre les différents accusés et à argumenter les faits qui leur sont reprochés.

    nous attendons le tour de L'APC de GUELMA ?

     

     

     


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  •  GUELMA: Les constructions illicites posent toujours problème

    par Mohammed Menani

    Le wali de Guelma a effectué, mardi dernier, une longue tournée à travers les daïras de Aïn Makhlouf, Oued Zenati et Houari Boumediène, où en compagnie de son staff technique exécutif, il passa en revue 38 sites de chantiers ouverts, exclusivement, au programme de l'habitat.

    Le parcours de cette inspection a englobé les communes de Aïn Larbi, Aïn Makhlouf, Tamlouka, Aïn Regada, Bordj Sabath, Oued Zenati, Ras El-Agba, Sellaoua Announa, Houari Boumediène et Medjez Amar, qui renferment des actions de réalisation de 2.775 logements publics locatifs dont 975 sont destinés à la résorption de l'habitat précaire recensé.

    Ces opérations ont été lancées dans le cadre de la mise en œuvre du programme quinquennal 2010-2014. L'état des lieux est identique à celui fait lord des précédentes constatations de visu, dans les autres communes du territoire de la wilaya, où l'on relève le phénomène récurrent de blocs de logements achevés et érigés dans un décor désolant, des aménagements extérieurs et les réseaux divers avançant au rythme d'une limace. Comme à l'accoutumée, c'est le DUC qui est interpellé pour relancer la cadence des travaux de viabilisation et se démarquer de cette position de maillon faible de la chaîne de construction. Les maîtres de l'ouvrage se doivent d'être plus efficients dans la synchronisation des actions du programme du logement dans le strict respect des plannings de réalisation, préalablement exigés des entreprises intervenantes.

    Après les 4.000 logements réceptionnés en 2014, les autorités locales avaient relevé les prévisions à 5.000, au terme de l'exercice 2015, soutenus par la mobilisation d'une enveloppe financière de 7 milliards de dinars.

    Sur tout l'itinéraire, le chef de l'exécutif n'a pas manqué de mettre le doigt sur divers recoins de poussière sous le tapis, déversant son ire sur les chefs de daïras et les élus, dont la passivité frise avec l'insouciance et la désinvolture de maquiller les tares. Le squat des espaces publics, bat son plein et les constructions illicites ne sont pas dans le champ de vision de l'édile.

    L'instruction majeure ordonnée, lors de cette tournée, aux chefs de daïras, consiste à déclencher tous les mécanismes légaux en vue de récupérer toutes les poches foncières et espaces publics squattés, mettant à contribution la puissance publique.


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  • Bouteflika tire la sonnette d’alarme

    Bouteflika tire la sonnette d’alarme : Fin des années d’embellie financière

    Le président Abdelaziz Bouteflika a réuni autour de lui avant-hier, les principaux responsables de l’État, civils et militaires, pour décider ensemble de ce qu’il faut faire devant la chute actuelle des prix du pétrole, principal source de revenus extérieurs de l’Algérie, et ses « perspectives imprévisibles » sur les équilibres économiques, sociaux et sécuritaires du pays.
    S’exprimant au cours d’un « Conseil restreint » consacré exclusivement à ce sujet, le chef de l’État, tout en se voulant rassurant sur les capacités dont dispose le pays pour continuer à fonctionner malgré cette crise « sévère » et « inquiétante », n’a pas manqué d’imprégner ses propos d’une gravité solennelle pour mieux rappeler chacun à ses responsabilités face à la situation. L’exercice est d’autant plus délicat que le président Bouteflika a signifié clairement, à cette occasion, l’inopportunité de toute idée de remise en question des principaux objectifs de développement déjà tracés, et qu’il veillerait personnellement à l’application des nécessaires mesures d’urgence et d’ajustement à mettre en place.
    Il en est ainsi du « suivi permanent » que le gouvernement est instruit de réaliser en vue des adaptations économiques et budgétaires nécessaires dans l’objectif suprême d’exclure, comme l’a ordonné le Président, toute remise en cause de la politique d’investissements publics en cours, surtout dans les secteurs auxquels les populations sont légitimement les plus sensibles. Pour le président Bouteflika, il n’est donc pas question d’abandonner le programme quinquennal d’investissements publics, même s’il faut adapter ses priorités et ses coûts, de même que « la justice sociale et la solidarité nationale demeureront au centre des options nationales fondamentales », selon ses propos. Le message présidentiel étant suffisamment clair et direct et pour se donner les moyens de sa politique, le Gouvernement est appelé à un surcroît de vigilance et de méthode et doit, pour commencer, travailler désormais, a dit le Président, à la rationalisation de la dépense publique en opérant, s’il le faut, des coupes notamment dans le budget de fonctionnement de l’Etat. L’Exécutif est également instruit de faire en sorte que les entreprises algériennes de statut public ou privé s’investissent davantage dans la réalisation des grands projets publics (aux côtés des sociétés étrangères) en vue d’accélérer les cadences et de réduire les coûts. La crise pétrolière, qui a réduit de moitié en quelques mois la valeur du baril de brut, requiert aussi une rationalisation des importations de biens et de services et une lutte plus sévère contre les fuites organisées de capitaux en vue de préserver l’équilibre de la balance des paiements, a encore averti de président de la République. Grâce à un baril largement au dessus des 100 dollars (contre moins de 60 dollars actuellement), des excédents commerciaux records et un endettement extérieur quasi nul, la balance des paiements extérieurs de l’Algérie enregistrait ces dernières années des excédents considérables et alimentait des réserves de change avoisinant les 200 milliards de dollars soit plusieurs années d’importations. Mais un bilan macro-économique aussi favorable ne doit pas faire oublier que la trop grande dépendance des hydrocarbures est un risque majeur que seule la diversification de l’économie nationale peut contenir: c’est l’autre message que le Président voulait rappeler au gouvernement à qui il a alors ordonné de lui rendre compte, dans les trois prochains mois, des mesures à prendre pour dynamiser les secteurs pouvant renfermer le plus d’effet d’entraînement sur le reste de l’appareil économique. L’industrie, la pétrochimie, l’agriculture, le tourisme, la finance, les nouvelles technologies de l’information et de la communication, autant de secteurs clés cités par le chef de l’Etat, sont ainsi appelés à tenir le rôle de locomotive dans cette phase de préparation active à l’indispensable construction de l’économie de l’après-pétrole. Le gouvernement est enfin appelé par M. Bouteflika à un effort particulier de communication en direction du peuple, en cette période de « crise pétrolière », pour le « rassurer » et le « mobiliser », dans son intérêt et dans celui du pays tout entier .

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  •    CHASSER LE LOUP AVANT QUE   SERRA TROP TARD 

    Guelma 24/04/2015 Par Mohamed ABBASSI

     

     

    On ne peut exhorter ceux qui font du mal à la société,  Mais les dénoncer d’une

    façon virulente caractérisée pour que les décideurs puissent à priori Intérieurement .

    Primo, débarrasser ces taupes  poison dans  les rouages de notre administration qui, j’en suis sur ; il existe des gens honnêtes et récurer certaines personnes à recouvrer un droit des plus élémentaire à savoir un logement social ou un bon de commande même un panier de ramadan ou il peut Vivre loin de la Hagra  (et les dépassements) de ces  incompétents.

             Par ailleurs, touts les listes qui sont établie par ces taupes poison quelque soit la nature , est purement et simplement dressée selon leur vœux et ne repose sur aucune donnée à son respect scrupuleusement les personnes responsable de la marche à suivre sont les premiers complices à savoir le Président de L’APC  ;  L’adjoint du service technique, et le directeur des services technique ,et la responsable de la commission techniques, la grand dame  des  paniers de ramadan , la distribution  des autorisations de construction tors et à travers , pour la commission d’ouverture  des plis et de  jugement d’œuvres   sur quel basse elle décide sur des caractère tribale et familiales  ou ?   Sur le trafique et la corruption  C’est le Pactole, la distribution  des marché le panier de ramadan des logements sociaux, tout le monde est  impliquer dans ce marchandage. N’est pas  les nécessiteux qu’en bénéficient  mais des gens aisés ; peut être que   ce n’est que 30 pour cent des nécessiteux ; il fan le clientélisme avec l’argent des pauvres parce-que   la liste et fausse a été établie par ?  

    Nous vous demandons respectueusement de mener une enquête  minutieusement afin de déterminer  tout les  dépassements car tout le monde est impliqué  et éloigner c'est taupes poison de c'est centre de décision .

    C’est dans un esprit de vouloir bien faire et reposer ma conscience 



     

      

      


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