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                        Les  Chèvres   insomniaques                                

     

    ABBASSI  Med  LE. 22/04/2015

     

    La découverte du caféier demeure obscure, en dépit de la précision de l’anecdote.                         

    Vers 850, un jeune berger éthiopien, kaldi, se serait étonné de ce que ses chèvres ne observant,  il aurait découvert qu’elles broutaient les fruits rouges d’un arbre inconnu .Ayant gouté de ces fruits, le berger éprouva  à son tour des effets toniques et même Excitants la légende est improbable, car les baies du caféier sont âpres  mais le breuvage  

    Appelé café, mot sans doute dérivé du nom de la province de gaffa, en  .Éthiopie, ou l’on cultivait  le café, fut bien découvert vers l’époque  citée par la légende un autre point est exportation certain ; tous les caféières, arbres du genre coffea  de la famille des rubiacées la première exportation de plants  entiers se fait seulement au (xv siècle, à destination de l’Arabie   des maisons de café  fleurissent à la Mecque,  puis en Égypte et en Turquie. C’est en 1643 que l’usage du café apparait en France, et ; en 1654, s’ouvre à paris le premier Café public, sur  l’emplacement  du futur marché saint – Germain.

     


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  • Les attentes de la culture 2015 de la capitale arabe de Constantine

     

     

    Guelma le 19/04/2015     

        Med  Abbassi

     

     

    Heureux épilogue pour l'histoire de la statue de Cheikh Abdelhamid Ben Badis. L'objet controversé a été déboulonné en effet dans la nuit de lundi à mardi, laissant place à un carré vide et à un grand soulagement parmi l'élite et la population qui n'avaient pas aimé l'œuvre. Elle aura duré dix (...)

       Les attentes de la culture 2015 de la capitale arabe de Constantine   

     

    Il ne suffit pas de découper un ruban pour relancer la culture en Algérie. C’est sans doute ce que nous a appris l’ouverture officielle de Constantine, Capitale de la culture arabe. Tout le beau monde présent hier pour cette inauguration ne suffira pas à convaincre que Constantine a enfin sa consécration.

    Nous pourrions vous raconter combien cette journée fut fastueuse, avec la visite de nombreuses infrastructures alliant modernité et tradition, construites pour cette occasion. Les milliards de dinars qu’elles ont demandés. Nous pourrions parler de cette cérémonie d’ouverture très solennelle, durant laquelle la langue et la culture arabe ont été mises en valeur. Ou encore de l’ambiance Constantine a officiellement lancé hier soir sa grande année culturelle. 2015 sera donc celle du rayonnement de la culture arabe extraordinaire obtenue grâce aux milliers de Constantinois qui arpentaient les rues à cette occasion.

    Nous pourrions également nous extasier sur l’attention internationale apportée au rocher. Un airbus A330-220 flambant neuf qui dépose sur le tarmac de l’aéroport Mohamed Boudiaf, une délégation de choix. Quasiment la moitié du gouvernement algérien, Premier ministre, ministre de la Culture, ministre des Affaires étrangères, du tourisme… Des hôtes de l’événement international Et de l’Algérie. Un rendez-vous que la ville des ponts, mais surtout le pays, ne doit pas rater. Pas seulement pour mériter une dimension internationale dans le monde arabe auxquelles elle veut tant adhérer, mais pour impulser une réelle culture comme de la pléthore d’ambassadeurs, ministres étrangers ou émissaires spéciaux envoyés par les 22 pays arabes participant à 2015.

    La moitié de la ville en chantier casentina.

    Mais ce serait se limiter au côté élitiste de l’événement. Dans les coulisses, on remarque que Constantine est seulement à l’aune de devenir Capitale de la culture. La moitié de la ville est encore en chantier. Les grues creusent l’horizon constantinois. Les façades sont habillées d’échafaudages. L’air sent la peinture fraîche, et la poussière des rues ancestrales. Dans son message prononcé hier soir par  son conseiller Mohamed Ben Amar Zerhouni, le président Abdelaziz Bouteflika estime que la  « promotion de la culture constituait le meilleur et le plus efficace moyen d’éveiller le sentiment d’appartenance à une même nation ». Sauf que pour l’heure les Algériens ne sont pas réellement concernés par ce nouveau statut de ville monde culturelle. Eux ont eu le droit la veille à une belle parade lumineuse, dans une ambiance carnavalesque, avec comme seul loisir de se photographier devant la fameuse statue d’Ibn Badais avec femmes et enfants. Souvenir impérissable.

    Consolider, ne pas bâcler

    Constantine 2015 n’a donc pas commencé hier mais plutôt demain. Cette année n’est qu’un départ, et l’agitation autour du lancement officiel n’est gage de rien pour le moment. Espérons que son lendemain ne soit pas à l’image de l’organisation de l’inauguration. À vouloir trop bien faire, les autorités algériennes se prennent les pieds dans le tapis. L’envie est là en tout cas. Coup de peinture jusqu’à la dernière minute. On perce, on troue pour prouver que les Algériens peuvent avoir leur capitale arabe.  « Ils ont commencé au dernier moment, donc ils ont dû accélérer le rythme, jusqu’à la veille de la parade, ils ont du faire des travaux », explique une commerçante constantinoise qui a vécu au rythme des marteaux-piqueurs cette dernière année.

    Dispositif de sécurité digne d’un état de siège

    Un dispositif sécuritaire digne d’un état de siège mais qui ne parvient pas à s’organiser. Au point où des embouteillages monstrueux paralysent la ville et que même des journalistes sont empêchés d’accéder sur les lieux culturels, qu’ils étaient censés couvrir. Quant à la soirée d’inauguration, les discours à rallonge  en arabe classique et sans traduction pour les étrangers qui ne comprennent pas un mot d’arabe. Celui du Président qui a duré près de 40 minutes, n’aura pas été du goût de tous. La longueur et surtout l’incompréhension de la langue a fait fuir certains ambassadeurs et représentants officiels avant la fin du spectacle. Le lendemain encore on en parlait parmi les invités prestigieux, « le spectacle était beau, mais les discours surtout celui du Président étaient trop longs », soufflaient encore certains diplomates.

    Beaucoup d’argent dépensé. C’est une certitude. À bon ou à mauvais escient ? Seul l’avenir nous dira si l’investissement en valait la peine. Si le somptueux hôtel Marriott amènera un tourisme haut de gamme. Si le Zénith de 3000 places accueillera régulièrement des spectacles. Enfin si les nouveaux lieux de culture seront le tremplin pour l’émergence d’une culture et d’un art populaire, poussant les Algériens de l’est à échanger et à devenir curieux.

    Rendre à Constantine ce qui est à Constantine

    Au-delà d’une inauguration ce sont les Constantinois qui doivent profiter de l’événement les années à venir. « Il ne faut pas oublier que nous vivons sur un rocher, nous sommes très fermés. Etre capitale arabe ça nous permettra de voir des étrangers, de nous ouvrir », estime une habitante. D’autres sont plus durs. « Un ami m’a dit qu’il aurait fallu changer la population avant de changer la ville », plaisante une Constantinoise, la cinquantaine, qui appelle ses concitoyens au civisme et à la valorisation de leur patrimoine, pour prolonger les effets de  Casentina

     

      Attente et manque de loisir                                                                                                                                                                                                                      

    En tout cas à Constantine il y a  une attente. Un peuple prêt à attendre pendant près de passage furtif de son Premier ministre est forcément en demande de loisirs et d’attente 5 heures sous le soleil tapant  Comment leur donner envie ? Pas forcément avec de la grandeur ou du luxe, mais de manière simple et efficace.  « Nous attendons de voir les résultats sur l’année. J’ai entendu la ministre à la radio expliquer que tous les cinémas seraient réhabilités c’est ce genre de nouveautés que les habitants de Constantine attendons. Manquons de loisirs. C’est pour ça que les jeunes traînent dans la rue », estime de son côté un jeune homme originaire de la ville.

    Le 16 avril 2015 est définitivement un simple top départ. Que dire de plus ?         

    Dans le cadre de Constantine capitale de la culture arabe 2015 trois événements vont marquer Constantine  ce vendredi 17 avril à.

    Vers onze heures locales aura lieu le Vernissage de l’exposition ‘Le royaume numide’ ensuite une  visite au tombeau de Massinissa. L’exposition aura lieu au Centre culturel M’Hamed El Yazid, El Khroub et ce  jusqu’au trente juillet 2015. A noter Mme Keltoum D’ahou sera la commissaire de l’exposition.
    Vers quinze heures locales aura lieu un Vernissage de l’exposition ‘Les manuscrits’ au niveau de la maison de la culture Al Khalifa, jusqu’au 15 juillet 2015. Le commissaire : Lakhdar Daria.
    Enfin et vers vingt heures aura lieu la  Symphonie’ El wiam’, par l’Orchestre symphonique national, dirigé par Amine Joui der au niveau du  Théâtre régional de Constantine     Dans le cadre de Constantine capitale de la culture arabe 2015 trois événements vont marquer Constantine  ce vendredi 17 avril.

    Vers onze heures locales aura lieu le Vernissage de l’exposition ‘Le royaume numide’ ensuite une  visite au tombeau de Massinissa. L’exposition aura lieu au Centre culturel M’Hamed El Yazid, El Khroub et ce  jusqu’au trente juillet 2015. A noter Mme Keltoum D’ahou sera le commissaire de l’exposition.
    Vers quinze heures locales aura lieu un Vernissage de l’exposition ‘Les manuscrits’ au niveau de la maison de la culture Al Khalifa, jusqu’au 15 juillet 2015. Le commissaire : Lakhdar Deria.
    Enfin et vers vingt heures aura lieu la  Symphonie’ El wiam’, par l’Orchestre symphonique national, dirigé par Amine Joui der au niveau du  Théâtre régional de Constantine.

     

     

    Les attentes de la culture 2015 de la capitale arabe de Constantine

     


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  • salle des fetes malek GUELMA salle des fetes malek GUELMA

     

    salle de mariage  .. MALEK

     Par -Mohamed ABBASSI

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     salle de mariage

     

    salle des fetes malek GUELMA

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    RESTAURANT MALEK DU COIN

    salle des fetes malek GUELMA


    L'art culinaire algérien  s'allie aux saveurs algériennes dans le  restaurant de la rue d’announa  à cote du théâtre romain GUELMA  Pain maison, pâtisseries, menus de saison vous attendent dans un décor signé MALEK, un artiste algérien de renom.

     

     

     salle des fetes malek GUELMA

     

     

     la modernisation de la pâtisserie

     

    De délicieux petits gâteaux au goût de noisette, à la texture ultra moelleuse et fondante, pour écarter la monotonie et égayer vos goûters ou vos petits déjeuners. 

    Voilà une base de pâte à gâteau que l'on peut facilement accommoder avec la garniture dont on a envie, ou préparer tout simplement nature ! 

    L’astuce : remplacer l'huile habituellement utilisée dans les gâteaux au yaourt par de la purée de noisettes, et ajouter un verre de lait de noisette pour lui donner cette légèreté très agréable. 

    Je peux vous assurer que ce goûter léger et très moelleux est apprécié par les petits et les grands sans distinction  

     

    salle des fetes malek GUELMA

     

    Voilà de jolies petites gourmandises aux noix et au chocolat, délicates et parfumées, adaptées d'une recette très riche. Des petites gourmandises qui n'était Parce qu'on veut bien proposer des goûters sains et équilibrés, mais faire plaisir également, on  vous propose de réaliser ces muffins légers et très moelleux, agrémentés de cerises séchées et de flocons d'avoine, pour régaler les petits (et les grands)...t pas pourtant prévues au programme de la journée.

     

     

     

    salle des fetes malek GUELMA

    salle des fetes malek GUELMA

    salle des fetes malek GUELMA

    salle des fetes malek GUELMA

    salle des fetes malek GUELMA

     

    La préparation du pain de la maison

     

    1 pain amélioré

    2. Levure

    3. Semoule blé dur

    4. Farine

    5. Sinoj

    6. Eau de fleur d'oranger

    7. L’huile

    8. Sel

    9. Beur

    10. œufs

     


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  • Comment reconnaître les faux billets de banque.  

                                                                                                                                                              

    Guelma le-08/03/2015 Mohamed  ABBASSI  

    Les Faux billets, fausses, ils circulent en masse en Algérie et parfois à l’international. Comment ne pas se faire avoir par de faux dinars ?Dans un pays où les transactions commerciales sont réglée par le cash, difficile de contrôler l’authenticité  de billets Au courant du mois de février, un fau monnayeur   a été arrêtés à Guelma. Les faux billets sont sans doute eu le temps d’inonder les portefeuilles des Algériens Mais comment -être sûr de ne pas avoir été piégé .                                                                                                                                                                                                                                                                                   

    Traquent la fausse monnaie                         

    Un faux billet peut-être identifié Par les banques Toutes les banques dans le pays reçoivent des directives émanant de la Banque d’Algérie pour empêcher la circulation des faux billets. Ils ont reçu une note très précise de la Banque d’Algérie. La démarche à entreprendre est claire et nette dans la lutte contre les faux billets La dernière note sur la procédure de détection de faux  billets est.

    Sur cette base, les établissements bancaires mettent en place un dispositif rigoureux pour combattre ce fléau dans un pays ou l’informel favorise la circulation de faux.  Billets L’état à  beaucoup investi sur ce sujet. Le dispositif prend en compte la formation du personnel. Les caissiers sont aussi formés aux moyens de détection et de contrôle et sont par ailleurs munis de détecteurs de faux billets à ultraviolets ainsi dès leur dépôt, les billets, Sont systématiquement vérifiés. Si vous remettez des faux billets, les agence les conserve, pour en suite les présenter à la Banque d’Algérie qui confirme ou infirme le caractère « faux » des dits billets. « Dans le cas où il s’agit effectivement de faux billets, une déclaration doit être faite auprès de la sûreté de la Wilaya ou au parquet».

    Détecter le faux billet à l’œil nu

    Il existe d’autres moyens de vérifier les billets. Un cambiste sur le marché parallèle nous explique qu’on peut les repérer à l’œil nu. L’homme voit passer des centaines de billets chaque jour en différentes devises. Il a pris l’habitude de repérer les faux. « Nous trouvons assez souvent des faux billets », explique l’homme qui change des dinars de manière informelle.

    Ce dernier nous explique que c’est assez facile, « pour l’euro par exemple les symboles un peu en relief sur les billets ne doivent pas être rêches. S’ils le sont c’est que c’est une contrefaçon. Sur le dinar, il faut voir la qualité du billet, s’il est épais ou fin, la couleur si elle est changée », explique le cambiste. « Lorsqu’il est de mauvaise qualité vous vous en rendez compte très rapidement », ajoute-t-il. C’est surtout le change parallèle, qui permet une circulation facile des faux. La méfiance doit donc y être supérieure.

    Les identifier par vous-même

    Nous avons examiné un billet de 1000 dinars, le plus touché par la contrefaçon. ci-dessous vous explique de manière interactive, de quelle manière on peut identifier un faux billet. Survolez avec votre souris pour voir quels détails sont indispensables

     La qualité du papier, la couleur, l’erreur dans l’écriture mot banque  d’algérie en arabe, la signature du gouverneur de la BCA et le directeur général du trésor public, et la bande en argent.

     


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    GUELMA: L'extension de la ville prend forme                      

     

     

       PAR -Mohamed Mennani

    Accompagné de son staff exécutif technique, le wali de Guelma a effectué, samedi dernier une visite de travail, en inspectant divers sites de chantiers ouverts au POS sud, du chef-lieu de wilaya, l'une des plus importantes extensions urbaines mise en œuvre, depuis 2005 et orientée vers la commune de Bendjerrah, distante de quelques kilomètres et qui connaît le même développement urbanistique. La visite a été entamée par l'inspection des travaux de réalisation du laboratoire de contrôle de la qualité, évoluant à un taux d'avancement de 10%. Ce projet s'achemine, inéluctablement, vers les surcoûts pour cause de travaux supplémentaires importants. Le wali a reproché au maître d'œuvre ses approches dubitatives, dans la conception de l'étude initiale et dont les conséquences vont éroder l'autorisation de programme, arrêtée à 120 millions de dinars alors que les mesures restrictives pour cause d'austérité ne peuvent tolérer la réévaluation. Le massage est on ne peut plus clair où l'on se doit de réaliser l'équipement avec les moyens de bord. Le wali a pris ensuite connaissance du programme d'action du secteur des Sports, dans cette future nouvelle ville, qui renferme la réalisation d'un CSP, une piscine olympique de 50 m et une salle omnisports d'une capacité de 500 places. La DJS a été instruite pour veiller, rigoureusement, aux délais des réalisations et à la qualité des ouvrages pour pouvoir mettre ces équipements en service et en faire bénéficier les citoyens de cette zone. Au volet éducatif, la DLEP pilote la réalisation d'un lycée du type 1.000/300, 2 CEM base 5/200 et 3 groupes scolaires. Les maîtres de l'ouvrage, de l'œuvre et les entreprises ont été mis en demeure d'augmenter la cadence des travaux, en vue d'achever ces équipements éducatifs et les inscrire sur la nouvelle carte scolaire 2015-2016. Au chapitre du logement, le wali a passé en revue tous les chantiers de réalisation des unités LSP, LPL, RHP de l'ancien programme en voie d'achèvement. Les blocs d'habitations sont progressivement réceptionnés et les retards sont constatés dans les aménagements extérieurs et les adductions aux différents réseaux. Tous les acteurs, agissant dans le segment de l'Habitat ont été sommés de lever toutes les contraintes afin de pouvoir réceptionner les ouvrages finis et entamer les procédures de relogement des bénéficiaires désignés. Dans ce sens, M. Larbi Merzoug soutient qu'il « entend entamer le relogement graduel des citoyens dès le mois de juin 2015. Je viens de relancer les responsables concernés pour relever la cadence des travaux afin d'être au rendez-vous des engagements avec les citoyens ». Il appela, aussi, à veiller aux respects des délais contractuels avec les opérateurs au maintien de l'ordre, dans les chantiers, tout en s'assurant que les nouveaux occupants des logements ne soient pas tentés à clochardiser la cité en opérant des modifications indues sur les façades extérieures. Le wali a, aussi visité les chantiers de réalisation des logements confiés aux entreprises étrangères et nationales dans la formule LPP et location-vente. Nous relevons, toutefois, que l'ENPI affirme connaître un déficit en souscripteurs à son programme, son représentant confie que « sur les 330 unités de ce site, nous enregistrons uniquement 243 souscripteurs confirmés ». Ce dernier a été orienté vers les autorités locales pour trouver le moyen de dissiper ce phénomène d'hésitation des souscripteurs. Le recteur de l'Université du 8 Mai 1945 a donné une lecture sur posters du projet d'extension devant donner naissance à un nouveau pôle universitaire de 6.000 places pédagogiques et 2 résidences de 2.000 et 1.000 lits. Les pouvoirs publics avaient mobilisé plus de 10 milliards de dinars pour les études, la réalisation et l'équipement de 3 facultés orientées vers les sciences de la santé, les sciences exactes et les télécommunications. Le représentant de la DUC a, enfin, présenté l'état d'avancement dans l'occupation du POS 31 sur les hauteurs sud du chef-lieu de wilaya. Ce programme fait état de l'implication de plus de 50 promoteurs fiables, à réaliser des logements promotionnels individuels et collectifs où certains ont entamé leurs travaux alors que les autres sont en phase de formalisation de l'étape de validation ou du permis de construire. Toujours au volet de l'Urbanisme, le chef de l'exécutif a inspecté les différents sites de chantiers d'amélioration urbaines, bitumage des voies, éclairage public, AEP, assainissement, plantation d'arbres ornementaux dans les anciens bâtis ou les nouvelles créations urbaines.

     

    Mohamed Mennani


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