•   LA COMMUNE DE GUELMA   Les   responsables  DANS  LE PIEGE 

    Guelma le 29 mai 2015. A.M

     

     

      LA COMMUNE DE GUELMA   Les   responsables  DANS  LE PIEGE

    La mauvaise gestion de notre APC de Guelma, se répercute par des oui - dire en accusant à Tord et à travers, et se débattent dans la peur au ventre les malversations commises.                                          

    IL faut plutôt  se mettre à l’évidence et recourant les  fonts  et non accuser des personnes Honnêtes et  patriotes qui ne léserez aucun  effort pour dénoncer, ces  en vermis du Peuples.

    Qui  veulent n’éméchai sur le dos  de la sucrette et suer moquer, celui qui à la preuve de ma 

    Participations à ces actes, immorales n’a qu’a s’adresser  à la justice  la porte est grande

    Ouverte et chaque algérien à le droit de sa décision.  

     

     


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    Une liste de produits interdits à l’importation circule dans les milieux d’affaires

    14:55  mercredi 27 mai 2015

     

     

    Amara Benyounes, ministre du Commerce - TSA
    Amara Benyounes, ministre du Commerce

       Une liste non officielle de produits interdits d’importation circule depuis quelques jours dans les milieux bancaires et d’affaires algériens. La liste comprend une vingtaine de produits essentiellement alimentaires. Interrogé par TSA, le ministre du Commerce, Amara Benyounes, a démenti l’existence d’une liste officielle de produits interdits d’importation : « Il n’existe absolument aucune liste ». Une source bancaire a également nié avoir reçu une quelconque liste de produits interdits d’importation : « Nous avons cette liste, mais il n’y a rien d’officiel ». Toutefois, des importateurs se plaignent de blocages de leurs produits aux ports.

    Que contient la liste ?

       La liste non officielle qui circule entre les chefs d’entreprises et les banquiers comprend essentiellement des produits alimentaires : l’ail, les oignons, les oranges et les olives. Des produits à base de blé et de céréales figurent dans cette liste qui ne porte aucun entête officiel : le pain, les pâtes, les croissants, les céréales, les biscuits, et la chapelure.

     

    D’autres produits comme les chips, les confiseries, les crèmes glacées, les sauces de pizza et les frites surgelées figurent également sur cette liste officieuse.

    Nous retrouvons également l’eau minérale, les boissons gazeuses et les soupes, les saucisses (en général), les poulets coupés.

    Des produits industriels

    Le reste des éléments présents sur la liste sont des produits industriels notamment les câbles électriques et les batteries automobiles, spécifiquement celles issues de Chine, de Turquie et du Moyen-Orient.


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  • Ghardaïa : reprise des affrontements entre Arabes et Mozabites

    08:16  mercredi 27 mai 2015

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           Ghardaïa continue de vivre au rythme des violences. Dans la nuit du mardi à mercredi, de nouveaux affrontements ont éclaté entre des Mozabites du quartier de Baba Ouldjema et des Arabes habitant à Mermed, a appris TSA de Ahmed Baba Moussa, membre de la Cellule de suivi et de coordination des événements de Ghardaïa. « Le quartier mozabite de Baba Ouudjema se trouve juste à côté de Mermed », précise-t-il.

    « Montés sur les toits de leurs maisons, ils (Mozabites et Arabes) se sont alors affrontés à coups de cocktails molotov, de jets de pierres et de feux d’artifices. La police lance des bombes lacrymogènes », raconte-t-il avant d’ajouter : « Il y a eu des blessés, mais j’ignore encore le nombre ».

     

       Plus tôt dans la soirée, un groupe d’habitants de Mermed « s’était attaqué au quartier de Baba Ouldjema », selon lui. Des policiers sont alors intervenus, mais sans pouvoir dissuader les assaillants, précise notre interlocuteur. « Avant-hier, ce groupe de Mermed avait tenté de s’attaquer à Baba Ouldjema, un quartier mozabite avant d’être repoussé par la police », indique M. Baba Moussa. Hier, ce même groupe voulait tenir un rassemblement devant la wilaya en solidarité avec les habitants arabes du quartier El Korti.

    Les affrontements à Ghardaïa avaient repris le 16 mai dans ce quartier après plusieurs mois d’accalmie. Plusieurs personnes ont été blessées dont une quinzaine d’éléments anti-émeute de la gendarmerie nationale. Au moins trois personnes ont été arrêtées et présentées devant le procureur de la République avant d’être placées sous mandat de dépôt.

     


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  • Algérie : Amine Mazouzi prend ses fonctions à la tête de Sonatrach

     

     

    Le groupe pétrolier algérien Sonatrach a un nouveau PDG, Amine Mazouzi.

    Le nouveau PDG du groupe pétrolier algérien Sonatrach, Amine Mazouzi, a pris ses fonctions lundi 25 mai, a-t-on appris auprès de cette société publique. Il succède à Saïd Sahnoun, désigné en juillet 2014 à titre intérimaire après le limogeage de son prédécesseur, Abdelhamid Zerguine. C’est le 9e PDG en quinze ans de cette entreprise, classée en 2013 première société en Afrique, avec un chiffre d’affaires à l’export de plus de 63 milliards de dollars, selon son site Internet.

      L’Algérie frappée par une série de scandales de corruption impliquant des officiels 

    Amine Mazouzi, 50 ans, occupait depuis 2008 le poste de directeur de stratégie et planification au sein de Sonatrach. Diplômé de l’Ecole polytechnique d’Alger, Amine Mazouzi est détenteur d’un doctorat d’Etat en ingénierie pétrolière et est l’auteur de plusieurs publications. Le nouveau PDG de Sonatrach est le fils de Mohamed-Saïd Mazouzi, ancien ministre du travail du président Houari Boumédiène.

      Algérie : l’exploitation controversée du gaz de schiste fait tomber le ministre de l’énergie

    Les hydrocarbures rapportent à l’Algérie plus de 95 % de ses recettes extérieures, et contribuent pour 60 % au budget de l’Etat. Sonatrach a été secoué ces dernières années par une série de scandales financiers instruits par des tribunaux algériens ou étrangers.
    Le pays produit 1,2 million de barils par jour, correspondant à son quota fixé par l’Organisation des pays exportateurs de pétrole.




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  • La triste nouvelle a été annoncée par le fils de l'acteur Tarek El-Sharif dans une interview accordée au journal espagnol El Mundo.

     

    Omar Sharif, atteint de la maladie d'Alzheimer s'est retiré du cinéma.

     


     

    «Mon père est atteint de la maladie d'Alzheimer. C'est difficile d'en déterminer le stade. Parfois il va bien et à d'autres moments il est complètement ahuri. Manifestement, ça va aller de pire en pire», a révélé Tarek El-Sharif, le fils unique d'Omar Sharif lors d'une interview accordée au journal El Mundo. Une maladie qui a éloigné des studios de tournage l'acteur légendaire âgé de 83 ans, a spécifié son fils.

    Avant d'ajouter: «Il se souvient qu'il est un acteur connu. La perte de mémoire touche d'abord des choses spécifiques, des détails comme là où il se trouvait à tel moment, ou ceux avec qui il a joué dans un film». Parfois, l'acteur réclame son ex-femme, Faten Hamama, décédée en janvier dernier. Surnommée «la grande dame de l'écran arabe», elle a partagé maintes fois l'affiche avec son Omar Sharif qui s'était converti à l'islam pour l'épouser en 1955. Le couple avait divorcé en 1974 alors que l'acteur, déjà célèbre en Égypte, lançait sa carrière à Hollywood. Omar Sharif, de son vrai nom Michel Demetri Chalhoub, a toujours décrit Faten Hamama comme le seul amour de sa vie.

    Né à Alexandrie, en Égypte, l'acteur a connu un succès foudroyant dans les années 1960 dans le célèbre film de David Lean, sorti en 1962, Lawrence d'Arabie où il joue le rôle du prince du désert Ali Ibn Kharis. Aux côtés de Peter O'Toole qui campe le héros. Omar Sharif avait obtenu le Golden Globe de meilleur acteur dans un second rôle en 1963 et une nomination aux Oscar la même année. Sa dernière apparition au cinéma remonte à 2013 dans le film de Laila Marrakchi, Rock the Casbah. Il y incarne Moulay Hassan le patriarche d'une riche famille de Tanger qui vient de s'éteindre. Il observe tranquillement, du jardin de sa belle villa, l'agitation et l'affliction qui s'emparent de sa famille depuis qu'il a trépassé.


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