• Résurrection/ Chakib Khalil ne cache plus ses ambitions politiques


     

    Le très controversé ex-ministre de l’Energie, Chekib Khelil, surfe, probablement dans le cadre d’une stratégie concertée, sur le soutien sans équivoque que lui a apporté Ahmed Ouyahia pour afficher ses ambitions politiques. Il s’est ainsi présenté sur sa page Facebook comme le candidat des «réalisations, de la transparence et du consensus».   

    Des transformations bien visibles ont été apportées sur la page Facebook de Chakib Khelil. Il a inséré, pour illustrer son profile, une vieille photo le mettant en scène en train de signer un document avec le président Bouteflika en arrière plan

    On remarquera que ses publications ne sont plus à classer dans la catégorie des contributions auxquelles il a consacré beaucoup de temps ces derniers temps, mais plutôt dans la case du projet politique se basant sur des “réalisation”. Dans l’un de ses derniers posts, il se décrit comme un homme ayant accompli beaucoup de choses à l’instar de la réalisation du centre de conférences d’Oran, l’hôtel Le Méridien, ou encore la  construction d’un siège de la compagnie nationale Sonatrach toujours dans la même ville.

    L’homme se définit également comme étant la figure absolue de la droiture et de la transparence. Il évoque dans une formule qu’il a baptisée « les trois B », en référence à BAOSEM, Bourse de l’emploi et Brainstorming, les changements qu’il a apportés au processus de signature de contrats, à l’égalité des chances entre les employés de la Sonatrach et à la promotion de l’innovation dans cette entreprise publique.

    M. Khelil se décrit également comme étant l’homme du consensus. Une notion très mal à propos puisque les exemples présentés sont en parfait déphasage avec le sens de ce concept. Pour démontrer sa capacité à rassembler, ce dernier a évoqué les “innombrables aides” qui ont touché plus de 20 000 jeunes âgés de 6 à 12 ans à travers la création d’académies de football. Il a également évoqué sa contribution dans la création du Groupement sportif des pétroliers est un club omnisports fondé en 2008.

     


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                              Tr : GUELMA: Novembre ou l'osmose entre le sang versé                    hier et la sueur d'aujourd'hui.

       

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     Par - Mohammed MENANI

     

       L'Histoire nous a enseigné que la riche panoplie des  actions de combat et de lutte du peuple algérien contre l'oppression coloniale,n'étaient aucunement des improvisations hasardeuses ou des anticipations utopiques,et ne sont devenues réalité frappante que gràce à la foi inébranlable  et au génie créateur de ses précurseurs,animés d'une ferme détermination de croire à leur juste cause,au point de ne pas hésiter à aller au sacrifice suprême dans la dignité qui échoit aux hommes libres. L'indélébile feuille de route de la nation algérienne définie dans la proclamation du 1er novembre 1954,renfermait un panel de résolutions à mettre en oeuvre en vue de parvenir à arracher la patrie du joug colonial et de concrétiser la renaissance de l'Etat national et favoriserait le retour du peuple algérien  sur la scène internationale dont il avait été si longtemps sciemment exclu.Un lourd tribut de sang a été payé pour le recouvrement de notre souveraineté nationale nous célébrons périodiquement le 5 juillet ,et le 1er novembre  reste le jalon phare qui a ouvert la longue et glorieuse marche  de tout un peuple  vers sa destinée.

       En commémorant par devoir de mémoire le 63ème anniversaire du déclenchement de la lutte de libération ,c'est toute la fulgurante épopée qui revient à l'esprit  avec 132 années de résistance  continue dont 8 années de combat et de guerre contre l'ordre colonial,où le peuple, à travers sa révolution authentique,avait écrit dans les strates de l'histoire universelle,l'une des pages les significatives  du combat de l'Homme ,pour sa dignité et son droit naturel au progrès . Le peuple algérien,par ses seules capacités,puisées du fond de sa nuit coloniale,par sa bravoure et ses intenses  sacrifices,a pu se libérer d'une oppression séculaire brutale, criminelle,spoliatrice de tous ses droits,voulant extirper jusqu'à sa mémoire pour lui dénier toute identité. A l'ombre des nos manifestations commémoratives du 63ème anniversaire du déclenchement de notre lutte armée,nous nous inclinons  dignement dans le recueillement serein,rendant hommage à tous nos martyrs,ces hommes et ces femmes,connus ou anonymes qui n'ont pas hésité à aller au sacrifice suprême pour que vive l'Algérie.Cet acte de ressourcement dans les valeurs de Novembre ne fait que consolider la foi et la détermination des jeunes générations à préserver  le précieux héritage  de nos aînés, en persévérant dans l'édification de notre pays  tout en se gardant des chantres sempiternels du doute , du renoncement ou autres tentations de dépravation morale.

       A Guelma,la célébration du 63ème anniversaire du déclenchement de l'étape finale de notre révolution,s'est pliée au conformisme des rituelles  cérémonies dans la levée des couleurs devant le carré des martyrs sous l'intonation du timbre fédérateur de l'hymne national,suivies  de symboliques baptêmes  d'établissements publics ainsi que la visite de divers chantiers du développement  local,notamment à Bouchegouf,Oued Zénati, dans une option de joindre l'utile à la commémoration historique mémorielle.Dans cette dimension,la raison appelle chacun à s'occuper de son propre carré  pour mettre en valeur la notable option du travail en comptant sur soi par l'effort et la sueur,comparativement à l'action de nos aînés qui sont allés au delà de la sueur en versant le sang.

       En gage de gratitude et par devoir de mémoire  envers nos martyrs,nous nous imposons de verser dans la sueur et l'effort  , en vue de parfaire les gigantesques ateliers de constructions multidimensionnelles ,dans une conduite cadencée du nouveau plan d'action gouvernemental, qui sied aux principes fondamentaux constitutifs de la bonne gouvernance , avec autant de dimensions normatives et prescriptives,ainsi que de mécanismes de régulation  utiles à l'approfondissement du creuset de la rigueur et de la culture du bon sens issu de la collégialité dans la gestion des affaires de la collectivité nationale.Le respect de nos martyrs et la défense de leur mémoire ,c'est aussi la droiture et le comportement quotidien dans la vigilance pour se prémunir de l'adversité et la diversion fomentées par les officines occultes aux derviches hurleurs qui recrutent les brebis égarées dans des chapelles à l'ersatz stérile.Les chants de sirènes sifflés par les cancres de l'école de l'histoire coloniale et les rigolos de la cinquième colonne qui aiment grenouiller dans des eaux troubles,ne peuvent pas nous dévier de notre chemin qui fut tracé par nos aînés. Nous n'avons aucune prédisposition à adhérer à l'ultralibéralisme débridé dans une globalisation à outrance dictés par le tenants de l'empire de l'internationale sioniste.Nous ne souscrivons à aucune agression par procuration contre les peuples car les hautes valeurs de notre révolution nous recommande de soutenir l'émancipation des peuples opprimés.Nous n'investissons pas dans les formules de fonds souverains dans les casinos off shore et les" tax heaven".Nous ne changerons pas notre fusil d'épaule dans le choix de nos alliés stratégiques et par respect à nos martyrs,nous gardons notre armée populaire à l'intérieur de nos frontières. Ainsi a décidé le peuple algérien qui va élire ses représentants locaux le 23 novembre 2017,parachevant la consolidation de ses institutions,et n'en déplaise aux thuriféraires de l'obscurantisme,aux apprentis sorciers dans l'agit-prop et aux barons des nébuleuses terroristes appuyés par les réseaux de la drogue et du crime organisé transnational, qui ne se rendent pas compte qu'ils prêchent dans le vide, devant un peuple souverain dans sa citadelle qui s'oppose à la profanation de son histoire,de son mode de gouvernance et de sa mémoire .N'en déplaise aussi à la cohorte des donneurs de leçons et les théoriciens dandys à l'esprit colonisé,qui n'ont toujours  pas digéré le paiement par anticipation de la dette publique,et qui veulent à tout prix nous jeter dans les bras du FMI,l'ogre qui depuis 1945,n'avait cessé de sucer le sang des peuples et de fragmenter les nations.Le recours à une thérapie locale pour redresser notre économie est inscrite en droite ligne dans l'enrichissement de la notion du "compter sur soi" qui est consignée dans la proclamation du 1er novembre 1954 appelant le peuple à puiser dans ses propres forces. Pour les doctes de l'internationale sioniste,la kermesse n'aura pas lieu. GAME OVER

     

     


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  • Insultes inacceptables contre l’Algérie : le roi du Maroc lâche ses chiens

    Maroc
    Le «commandeur des croyants» pose avec un fan à Paris

     Les clairons de Mohammed VI et sa famille de prédateurs qui affament le peuple marocain ont franchi la ligne rouge. Leur réaction enragée aux vérités assénées par notre ministre des Affaires étrangères dénote la susceptibilité du Makhzen qui cherche à cacher le soleil avec un tamis – comme dit l’adage algérien. 

    Abdelkader Messahel fait l’objet d’attaques ignominieuses de la part de certains médias marocains directement rattachés aux services secrets et qui servent de bouclier au palais à chaque fois que des faits concernant les frasques du «commandant des croyants» en chemise à fleurs et culotte courte sont révélés et risquent de faire vaciller le trône.

    Des insultes graves ont été proférées contre le ministre des Affaires étrangères, au moment même où une source autorisée affirmait que l’Algérie ne répondrait pas aux provocations et qu’elle n’entrerait pas dans le jeu de l’escalade voulu par le Maroc officiel. Or, ces insultes ne peuvent être tues et ne peuvent rester sans réaction. Les chiens aboyeurs de Mohammed VI et son sérail sont allés trop loin dans leur ignoble infamie.

    Faut-il se taire face à ce nouvel affront de cette monarchie rétrograde, dont la particularité est la prostitution aux puissances étrangères et aux richissimes Etats du Golfe à qui elle fournit les bonnes et la chair à canon contre l’assurance de la sauvegarde du régime à travers les contreparties financières qui permettent au Maroc de tenir encore sur une béquille ?

    Jusqu’où l’Algérie gardera-t-elle son sang-froid devant cette perfidie d’un voisin dont la trahison constitue une menace sérieuse sur la stabilité de toute la région en raison de sa collusion avérée avec les groupes terroristes armés et le crime organisé ? Que gagne l’Algérie à maintenir des relations avec un royaume hostile et hypocrite dont il est prouvé qu’il s’est allié avec l’entité sioniste et qu’il sert de poste avancé au Mossad israélien qui nous espionne à partir de nos frontières ouest qui deviennent ainsi vulnérables ?

    Le soulèvement des populations du Rif donne des sueurs froides à la famille régnante qui voit son trône s’ébranler chaque jour un peu plus. Les appels à l’instauration d’une république moderne dans ce pays aux richesses dilapidées dans les extravagances des descendants de Hassan II et le cercle restreint de bouffons qui les servent platement, commencent à se faire entendre par l’ensemble des Marocains qui finiront bien par se débarrasser de cette couronne méprisable, à force de lutte et de persévérance.

     


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  •       La médiocrité,la haine et la cécité s'allient pour tirer sur des ambulances

                                         Par -la Rédaction .de Guelma libre

     Pour avoir critiqué les élus dans un article publié au journal "le quotidien d'Oran" dans son édition du 22 octobre 2017,l'auteur du billet intitulé "les élus de l'APW en séance d'adieu", a été victime d'une humiliation mal placée,sur une "table réservée aux élus",lors d'une cérémonie organisée le même jour par la wilaya de Guelma à l'occasion de la journée nationale de la presse.Des justiciers en herbe ont été utilisés pour prendre la défense de la médiocratie en versant dans la haine,la vengeance,l'exclusion et l'irrespect.La vulgarité des muscles contre les personnes âgées,de surcroît invalides,ne fait récolter aucun honneur et les commanditaires de cette humiliation orchestrée avec bassesse,peuvent se réjouir sous cape d'avoir protégé leur fameuse "table réservée aux élus",qui a fini par être occupée par un élu bardé d'un écusson affichant de sévères et lourdes réquisitions pénales récentes.Les boys scouts mal inspirés ne peuvent atteindre les âmes bien nées.


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  • Mœurs et politique/ Le harcèlement sexuel se pratique à grande échelle à l’APN

     

    Le harcèlement sexuel est, selon toute vraisemblance, monnaie courante à l’APN. Des députées et de simples employées sont l’objet de cette pratique dégradante dans une impunité totale.

    Le harcèlement sexuel est l’une des contraintes les pus courante q'auxquelles font face les femmes au parlement. Dans l’incapacité de dénoncer ces actes odieux, certaines d’entre elles ont témoigné dans les colonnes du journal en ligne Aljazair 1

    Préférant garder l’anonymat, ces femmes députées ont été unanimes à affirmer que leurs agresseurs étaient des députés et parfois même des ministres. «Nous ne pouvons rien faire», a déploré l’une d’elles qui a indiqué que «l’immunité parlementaire les protège de tout, même des poursuites judiciaires».

    Selon les témoignages, quasiment toutes les femmes travaillant dans l’hémicycle sont sujettes au harcèlement sexuel. Qu’elles soient célibataires ou mariées, cela importe peu à «ces prédateurs qui ne reculent devant rien pour assouvir leurs pulsions animales».

    L’une de ces députées a même révélé qu’elle faisait régulièrement l’objet de toute sorte de gestes malsains, que ce soit des attouchements ou des propos indécents de la part d’un député influant. «Le plus étrange, c’est que cet individu est marié à quatre femmes. Il est issu de l’un des partis du pouvoir. Il a 57 ans et il est originaire de l’Est», a-t-elle précisé.

    À en croire Aljazair1, le harcèlement sexuel ne touche pas que les femmes. Même les jeunes hommes faisant partie du personnel de cette institution en sont victimes. L’un d’eux à indiqué qu’il a repoussé un ministre en poste. Ce dernier l’a menacé de toute sorte de malheurs s’il venait à le dénoncer.



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