• « Panama papers » : comment l’élite algérienne a détourné l’argent du pétrole

     
    Chekib Khelil (au centre ), alors ministre algérien de l’énergie, ici en 2007. Les juges italiens le soupçonnent d’avoir contraint ENI à utiliser Farid Bedjaoui comme intermédiaire, afin d’organiser la redistribution des commissions, notamment à son épouse.

    Le diamantaire Laurent Bloch ne se doutait pas, en ce mois de décembre 2006, que ses retrouvailles avec le frère de son ami d’enfance allaient l’amener, huit ans plus tard, à témoigner devant la justice italienne. Dans les années 1970, l’actuel gérant du diamantaire parisien Raymond Bloch SA fréquentait la même école primaire à Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine) que Ryad, frère cadet de Farid Bedjaoui. C’était avant que la famille Bedjaoui n’émigre au Canada au début des années 1990, avant que les frères Bedjaoui ne fassent fortune et que l’aîné vienne lui acheter, pour son épouse, deux diamants pour près de 1 million de dollars (environ 900 000 euros).

    « Le prix payé par Farid correspondait à la valeur de ces diamants sur le marché », a affirmé Laurent Bloch devant le tribunal de Milan, pour justifier deux virements effectués par Farid Bedjaoui sur le compte à Genève (à l’Union bancaire privée) d’une compagnie offshore, Bexhill International Inc., dont la famille Bloch était bénéficiaire économique.

    Un continent de secrets : une nouvelle série sur les « Panama papers » en Afrique

    Le Consortium international de journalistes d’investigation (ICIJ), dont Le Monde est partenaire, publie dès lundi 25 juillet une nouvelle série d’articles à partir des documents « Panama papers » sur l’évaporation des ressources en Afrique.

    La présentation (en anglais) de cette série est à trouver ici.

    Les 11,5 millions de documents issus du cabinet panaméen Mossack Fonseca mettent en lumière le rôle des sociétés offshore dans le pillage du continent, qu’il s’agisse de l’industrie du diamant en Sierra Leone, des structures de dissimulations du milliardaire nigérian Kolawole Aluko, propriétaire d’un yacht sur lequel Beyonce a passé des vacances et lié à l’ancienne ministre du pétrole nigériane Diezani Alison-Madueke, ou le recours systématique aux paradis fiscaux par l’industrie extractive.

    Selon l’ICIJ, des sociétés issues de 52 des 54 pays africains ont recouru à des structures offshore, participant à l’évaporation de 50 milliards de dollars d’Afrique chaque année. ICIJ, pour cette nouvelle série, s’est appuyé sur ses partenaires habituels ainsi que sur des journalistes en Algérie, au Ghana, en Tanzanie, au Niger, au Mozambique, à Maurice, au Burkina Faso et au Togo, coordonnés par le réseau indépendant ANCIR.

    En l’occurrence, ce n’est pas la structure offshore des Bloch qui intéressait la justice, mais le train de vie de Farid Bedjaoui, neveu de l’ancien ministre algérien des affaires étrangères, Mohammed Bedjaoui. Farid, personnage flamboyant aujourd’hui âgé de 47 ans, est poursuivi pour corruption et blanchiment d’argent dans l’affaire Sonatrach-Saipem.

    Lire aussi : Algérie: les dessous de l’ascension fulgurante de l’industriel Issad Rebrab

    L’affaire éclate en 2009. L’ancien PDG de la Sonatrach, Mohamed Meziane, ses deux fils, ainsi que de nombreux hauts responsables de la compagnie nationale algérienne de pétrole ont été condamnés en février 2016 au terme du procès algérien dit « Sonatrach 1 ». La filiale algérienne de Saipem a également été jugée coupable de « majoration des prix en mettant à profit l’autorité et l’influence des agents d’un établissement à caractère industriel et commercial », une condamnation dont elle a fait appel. Cette affaire a coûté leur poste à Paolo Scaroni, l’ancien PDG d’ENI, le grand groupe pétrolier italien, et à l’administrateur délégué de Saipem, Pietro Tali. Jusqu’en 1984, Saipem appartenait 100% à ENI. A l’époque des faits qui lui sont reprochés en Algérie, ENI était encore le plus gros actionnaire de Saipem, avec 43%, une participation réduite à 30.5% en octobre 2015 afin d’alléger ENI de près de 5,1 milliards d’euros de dette.

    Lire aussi : Soupçons de corruption de Saipem en Algérie : ENI et son ex-patron seront jugés

    Une deuxième procédure a été ouverte en Italie, dans le sillage des commissions rogatoires envoyées par l’Algérie. Cette fois, les pistes mènent à Farid Bedjaoui, en fuite et aperçu pour la dernière fois à Dubaï, et à l’entourage du ministre de l’énergie de l’époque, Chakib Khelil. Les magistrats italiens accusent Bedjaoui d’avoir touché de la Saipem l’équivalent de 205 millions de dollars par l’intermédiaire de la compagnie Pearl Partners Ltd, domiciliée à Hongkong. Et le soupçonnent d’avoir arrosé de nombreux responsables algériens afin de faciliter l’obtention, par la Saipem, de huit contrats entre 2006 et 2009, pour 10 milliards de dollars : des centaines de kilomètres de pipelines et plusieurs usines de traitement.

    « Schéma corruptif »

    « Le rôle d’intermédiaire joué par Farid Bedjaoui dans le schéma corruptif (…) aurait été imposé à Saipem par le ministre Khelil. (…) Les magistrats algériens ont identifié des versements qui ont profité à Najat Arafat, épouse de Chakib Khelil », indique le Tribunal pénal fédéral suisse, le 14 janvier 2015, sollicité par une demande algérienne d’entraide judiciaire.

    Lire aussi : « Panama Papers » : ces safaris africains qui se terminent dans les paradis fiscaux

    En 2013, « Docteur Chakib », comme aimaient l’appeler ses collaborateurs au ministère de l’énergie et à la Sonatrach, a été brièvement placé par Interpol sur la liste des personnes recherchées avant que le mandat d’arrêt émis à son encontre par le parquet d’Alger ne soit frappé de nullité. Réfugié aux Etats-Unis, il est revenu triomphalement en Algérie en 2016. Joint par téléphone, Chakib Khelil a indiqué qu’il n’avait pas le temps de parler de ce sujet.

    La quasi-totalité des montages offshore ayant servi de lessiveuse à ces commissions et rétrocommissions ont été lancés par la fiduciaire suisse Multi Group Finance, à Lausanne, pour le compte de Farid Bedjaoui et exécutés entre 2007 et 2010 par le cabinet d’avocats panaméen Mossack Fonseca. Les documents obtenus par le biais du Consortium international des journalistes d’investigation et le journal allemand Süddeutsche Zeitung révèlent les ramifications de ce réseau que les magistrats italiens et algériens tentent d’élucider.

    Lire aussi : « Panama Papers » : en Algérie, l’argent du pétrole passe par l’offshore

    Farid Bedjaoui, surnommé « M. 3 % », avait ainsi un mandat de gestion sur Girnwood International Engineering Ltd. et Cardell Capital S.A., qui disposent de comptes domiciliés à la banque Edmond de Rothschild à Nassau (Bahamas). Il a fait constituer Sorung Associates Inc. pour gérer des portefeuilles placés à la banque Mirabaud, en Suisse et à Dubaï. Justin Invest Developments SA gère pour lui un portefeuille placé en 2008 à la banque genevoise BLOM Bank. Il a aussi hérité des pouvoirs de Pietro Varone, ancien directeur des opérations de Saipem, également cité dans l’affaire Sonatrach, sur la société Farnworth Consultants Inc., laquelle a servi à l’achat d’un bateau.

    Myriade de sociétés offshore

    Farid Bedjaoui nie les faits qui lui sont reprochés. Ses avocats affirment qu’il n’a jamais exercé une quelconque influence sur les élites politiques en Algérie pour organiser une entreprise de corruption d’une telle ampleur. Tout comme Saipem, qui dément tout versement de pots-de-vin à des responsables algériens. « L’expertise externe que l’entreprise a commandée pour examiner les livres comptables de l’entreprise n’a trouvé aucune trace prouvant les présumés paiements effectués au profit de responsables algériens à travers des contrats d’intermédiation ou de sous-traitance », a-t-elle fait savoir.

    Et aussi : Essayez le jeu interactif de l’ICIJ sur l’offshore africain

    Si ENI a toujours entretenu de bons rapports avec l’Etat algérien depuis que son fondateur, Enrico Mattei, a fourni dès 1959 au FLN l’assistance technique nécessaire à ses négociations avec la France coloniale, c’est lorsqu’elle a engagé Farid Bedjaoui comme consultant, en 2003, qu’elle a réussi une ascension fulgurante, décrochant quantité de contrats en quelques années. Les magistrats italiens sont convaincus que les prix de ces contrats entre Sonatrach et Saipem ont été majorés d’un commun accord afin de pouvoir dégager des « marges » au profit des responsables des deux compagnies.

    Lire aussi : Les Africains du Panama (2) : ces ministres en Algérie et en Angola clients de Mossack Fonseca

    Diplômé de HEC Montréal et jouissant des nationalités algérienne, française et canadienne, Farid Bedjaoui gagnait sa vie dans le négoce alimentaire avant de se lancer dans les affaires au début des années 2000 avec ses beaux-frères libanais du groupe Ouais. En 2002, à Beyrouth, l’homme d’affaires franco-algérien Omar Habour lui présente Chakib Khelil, alors ministre algérien de l’énergie et des mines. Ce dernier n’allait pas tarder à le traiter « comme un fils », a déclaré un témoin au procès de Milan.

    Cette même année, Farid Bedjaoui recourt pour la première fois aux services du cabinet Mossack Fonseca. Il s’agissait d’ouvrir un compte suisse pour sa société de courtage Rayan Asset Management. Une tâche qu’il a confiée à son gestionnaire de fortune, Ludovic Guignet, de la fiduciaire suisse Multi Group Finance, basée à Lausanne. C’est ce même homme qui aura à gérer la frénésie d’achats de compagnies offshore préexistantes qui s’empare de Farid Bedjaoui à partir de 2006. Une myriade de sociétés domiciliées au Panama et aux Iles vierges britanniques.

    Les « Panama papers » en trois points
    • Le Monde et 108 autres rédactions dans 76 pays, coordonnées par le Consortium international des journalistes d’investigation (ICIJ), ont eu accès à une masse d’informations inédites qui jettent une lumière crue sur le monde opaque de la finance offshore et des paradis fiscaux.
    • Les 11,5 millions de fichiers proviennent des archives du cabinet panaméen Mossack Fonseca, spécialiste de la domiciliation de sociétés offshore, entre 1977 et 2015. Il s’agit de la plus grosse fuite d’informations jamais exploitée par des médias.
    • Les « Panama papers » révèlent qu’outre des milliers d’anonymes de nombreux chefs d’Etat, des milliardaires, des grands noms du sport, des célébrités ou des personnalités sous le coup de sanctions internationales ont recouru à des montages offshore pour dissimuler leurs actifs.

    Désormais, Farid Bedjaoui et son mode de vie princier sont devenus emblématiques d’une élite algérienne corrompue, et cela alors que l’Algérie, qui souffre aujourd’hui de la chute des cours du pétrole, aurait perdu chaque année entre 2004 et 2013, selon l’ONG Global Financial Integrity, près d’1,5 milliard de dollars de recettes en raison de l’évasion fiscale, de la corruption et du vol de ressources publiques.

    Et pourtant, les vérifications diligentées en interne par le cabinet Mossack Fonseca n’ont rien détecté de suspect. Bedjaoui ayant utilisé son passeport canadien pour ouvrir certains comptes et sa carte d’identité algérienne pour d’autres. Des montages qui permettent une redistribution des actifs à près d’une dizaine de membres de sa famille, d’amis et associés de ce réseau offshore : son épouse libanaise Rania Dalloul, son beau-frère Ziad Dalloul, l’épouse du ministre de l’énergie Chakib Khelil, Najat Arafat, et son fils, Khaldoun, la fille de l’actuel premier ministre algérien Abdelmalek Sellal, Rym, l’homme d’affaires franco-algérien Omar Habour, et le directeur des opérations de Saipem, l’Italien Pietro Varone, ainsi que son épouse.

    Des tableaux de Warhol, Miro et Dali saisis

    Selon les magistrats italiens, les pistes sont brouillées par des comptes éparpillés dans plusieurs pays, à Dubaï, Singapour, Londres, Hongkong, en Suisse et au Liban. Minkle Consultants SA, par exemple, qualifiée de « carrefour des flux financiers illicites » par les enquêteurs italiens, a servi pour l’acheminement de près de 15 millions de dollars de pots-de-vin. Elle a bénéficié à un éventail de destinataires qui ne sont toujours pas identifiés par l’enquête judiciaire. Le capital social des sociétés créées par Mossack Fonseca est constitué d’actions au porteur (anonymes), ce qui rend difficile la remontée de la chaîne des bénéficiaires finaux.

    Les soupçons au sujet de Farid Bedjaoui pour son rôle dans les transactions entre Sonatrach et Saipem ont fait les gros titres de la presse d’Algérie et d’ailleurs dès février 2013. Quelques mois plus tard, la police canadienne a saisi ses actifs à Montréal ; les autorités françaises ont perquisitionné son appartement parisien et saisi de nombreux tableaux signés Andy Warhol, Joan Miro et Salvador Dali. Son yacht de 43 mètres a également été saisi.

    Ce n’est pourtant qu’en septembre 2013 que Mossack Fonseca semble prendre conscience qu’il y a un problème avec Farid Bedjaoui. Et cela un peu par hasard : ce mois-là, les autorités des îles Vierges britanniques exigent du cabinet panaméen les documents de la compagnie Abode Finance Services Corporation dont le bénéficiaire économique, Omar Habour, lié à Farid Bedjaoui, est activement recherché par les justices italienne et algérienne dans le cadre de l’affaire Sonatrach-Saipem.

    « Embarrassant », dit une employée de Mossack Fonseca

    Or, cela fait des années que Mossack Fonseca n’a pas eu de contact avec M. Habour. Dans l’un de ses courriels, la directrice de Mossack Fonseca aux îles Vierges britanniques, Rosemarie Flax, estime que cela est « embarrassant » et expose le cabinet à une amende. Par ailleurs, Mossack Fonseca a continué de s’occuper de Rayan Asset Management, la société de Farid Bedjaoui, jusqu’au moins en novembre 2015.

    M. Habour, qui n’a pas répondu à nos appels, tout comme ses avocats du cabinet suisse Chabrier, est accusé, lui aussi, de corruption et de blanchiment d’argent. Il disposait de mandats sur six compagnies offshore créées par Mossack Fonseca à travers Ludovic Guignet, dont certaines ont changé de main entre-temps pour bénéficier notamment à l’épouse de Chakib Khelil, Najat Arafat, à la fille d’Abdelmalek Sellal, Rym. Cette dernière apparaît comme l’ayant droit de la société Teampart Capital Holdings Limited (TCH). Elle en est devenue la bénéficiaire quatre mois après sa constitution, le 26 octobre 2004, par Multi Group Finance et son inscription aux îles Vierges britanniques par Mossack Fonseca en faveur d’Omar Habour.

    Najat Arafat, elle, a disposé en 2005 de deux sociétés offshore au Panama dans le cadre de ce montage. Deux sociétés servant de paravent à des comptes bancaires en Suisse : Carnelian Group Inc., créée en mai 2005, et Parkford Consulting Inc., en octobre de la même année. Les pouvoirs de Mme Khelil ont été transmis deux ans plus tard, les 26 et 27 novembre 2007 à Omar Habour.

    « Tu veux 10 millions de dollars ? »

    Collingdale Consultants Inc. a bénéficié respectivement à Khaldoun, fils cadet de Chakib Khelil, et à Regina Picano, épouse de Pietro Varone. Cette compagnie gérait un « patrimoine » de près de 15 millions de dollars.

    Quant aux biens immobiliers acquis durant cette période par Farid Bedjaoui, les autorités américaines ont diligenté une enquête au sujet de trois appartements à New York dont deux à Manhattan, d’une valeur totale de plus de 50 millions de dollars. L’un de ces appartements est un condominium situé au 5, Central Park Avenue, acheté pour 28,5 millions de dollars. Selon les documents fournis aux enquêteurs italiens par le département américain de la Justice, le paiement a surtout été effectué, par le biais d’une compagnie domiciliée au Delaware.

    En Italie, le tribunal de Milan a prononcé des peines de prison à l’encontre d’anciens dirigeants d’ENI, à l’image de Tullio Orsi, ancien directeur de la filiale algérienne de Saipem, qui a plaidé coupable en échange d’une remise de peine. Orsi, qui a désormais purgé deux ans et dix mois en prison, a raconté aux enquêteurs ses rencontres avec Farid Bedjaoui à l’Hôtel Bulgari de Milan, où la facture du neveu de l’ancien ministre algérien des affaires étrangères s’est élevée à plus de 100 000 euros en cinq ans. Il a indiqué que Bedjaoui l’avait aussi invité à une soirée organisée sur son yacht amarré au large des côtes espagnoles et qu’il lui a offert 10 millions de dollars. « Il l’a fait avec d’autres qu’il a aidés financièrement et il l’a fait avec plaisir », a témoigné Orsi, ajoutant avoir refusé cette somme.


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  • Tr : GUELMA:La protection civile sur plusieurs fronts  

     
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  • Des  administrateurs  DE la direction des domaines de la wilaya de  Guelma dénoncent l’accaparement d’un Agent de sécurité  .          

     PAR -G-L -A.M

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    De Guelma nous parvient l’histoire d’un agent de sécurité  en exercice à la direction des domaines de Guelma, qui nargue l'autorité de l'Etat et exerce des pressions insoutenables sur l’administration et à d’autre responsables en s’adonnant à une affaire  foncier au sein du domaine  de l’Etat.  Ce scandale immobilier secoue l'administration à Guelma dont les habitants se renvoient les échos, ces derniers jours, d’une gabegie insolente. Selon un document parvenu à la rédaction, accompagné de toutes les pièces prouvant cette énorme affaire de trafic, a s’est reconverti en promoteur immobilier sans agrément. Il projette  un terrain aux 1000 lots située sur les hauteurs urbaines du chef-lieu de wilaya, et 02 logements social 01 promotionnel  a Guelma  L’autre logement à Baba Ahcen Alger    qu’il aurait acquise auprès de sont directeur le logement du conservateur des domaines de Guelma. Lors des vérifications d’usage, il fut établi que cette personne en question il se croit que cette administrations c’est  un lieu privée  parce que le directeur de la dite administration  impuisant  .

    L’administration qui à découver les termes de cette transaction elle n'avait pas engagé une procédure d’annulation de l’occupation illégal   du logement  du conservateur ou ci la complicité du directeur du domaine  les  charges et obtenu gain de cause devant l’instance de l’injustice  légales, d’où le droit à l’administration de formaliser la réintégration du logement en question dans les réserves   du domaine  de l’Etat. «Conséquemment à ces malversations avérées, aux relents de fraude   de spéculation lucrative dans les logements de fonction  d’autrui,      indûment un  bien entre particuliers sur un bien relevant du domaine   de l’Etat.   Pour un agent de sécurité  de la voie de la transgression de la réglementation et faciliter l’acheminement de la dite logt sur la trajectoire du non-droit. Aussi, il n’y a que les résultats des enquêtes ouvertes ou à ouvrir qui vont déterminer les implications des uns est des autres qui auraient flirté avec la grande ou la petite délinquance. Les rédacteurs du rapport relèvent que dans cette cacophonie, des mesures salvatrices ont été prises pour la sauvegarde des intérêts de la collectivité et ceci «avait soufflé un vent de panique dans les rangs de l’irréductible lobby des barons du foncier, manifestant au grand jour leurs desseins machiavéliques en actionnant leurs influences et leurs menaces contre  ». Le slogan affiché,   oriente vers l’option de la hiérarchisation des priorités vitales, avec une destination    dans ces joutes conflictuelles s’entrecroisent des intérêts spéculatifs, dans un maillage composé de trafic d’influence, de malices sciemment outrageantes, d’arnaques en tout genre ou de despotisme et d’impartialité. S’il reste convaincu que la loi finira par mettre un terme à toutes les gesticulations agressives contre la chose publique, il est toutefois perplexe devant un tel déballage sur la place publique, mettant en cause   un agent de sécurité  jouant des muscles avec l’ordre de l’administration, sans réaction de sa hiérarchie. «Quand bien même certains se croient au-dessus de la loi et intouchables, nous relevons une fermeté inébranlable du chef de l’exécutif local dans son credo de lutte permanente contre l’insouciance, l’injustice, les abus, les tricheries maquillées et tous les comportements stériles qui portent préjudice à la cohésion sociale. Ceci avait réduit les capacités de nuisance de plusieurs faux dévots et autres apprentis sorciers qui se sont résignés à cajoler l’espoir de revenir en scène, en misant sur «l’imminent départ» du conservateur.  C’est cela l’attentisme »

      

     

     


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  • Tr : GUELMA:La direction de l'éducation récompense les plus méritants 

     

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    Par:   MENANI Mohammed 

     

    La salle de conférences dans l'enceinte du siège de la wilaya de Guelma, a abrité cette semaine ,la cérémonie de remise des prix honorifiques à 76 lauréats des 3 paliers du secteur éducatif ,qui a été rehaussée par la présence de Mme RAIS Fatma Zohra, wali de Guelma accompagnée du président de l'APW ainsi qu'un panel d'invités.

       Dans son allocution inaugurale imbibée d'un parfum d'allégresse mêlé aux réminiscences des festivités commémorant la fête de l'indépendance et de la jeunesse, le directeur de l'éducation a mis en exergue l'effort continu du secteur éducatif  dans la voie de consolidation des passerelles du savoir qui a pour objectif d'immuniser nos générations montantes contre toutes les tentations de dépravation et les agressions extérieures. L'orateur qui a rappelé les efforts considérables consacrés par les pouvoirs publics dans se secteur névralgique , dans la marche de la nation vers le bien-être ,n'a pas manqué de fustiger les ennemis de l'effort et les fossoyeurs de l'espérance et du savoir, en indexant les thuriféraires de la calomnie et les derviches hurleurs qui soufflent itérativement mais vainement sur les cendres mortes ,pour déstabiliser la communauté éducative et la détourner de ses objectifs majeurs qui s'articulent autour de l'authenticité, le bons sens, la sueur de l'effort et le mérite. De la lecture de la fiche de synthèse présentée  par la direction de la culture sur  l'événement, nous relevons que le palier primaire qui a atteint un taux de réussite de 83,46%  a présenté 14 lauréats dont  les notes varient entre 10/10 et  9.80/10, alors que le palier moyen a présenté 27 lauréats dont la moyenne oscille entre 19.26/20 et 18.01/20. Enfin le palier secondaire qui a enregistré un taux de réussite de 48.34% au niveau des 38 lycées que compte la wilaya, il a présenté 35 nouveaux bacheliers dont la moyenne varie entre  18.36:20 et 17/20.La palme méritante est revenue à un élève du lycée d'Héliopolis.  La cérémonie qui a été marquée par une grande affluence populaire, notamment les parents d'élèves honorés, s’est déroulée dans une ambiance conviviale, animée par un orchestre andalou local, malgré quelques couacs  survenus sur l'échiquier organisationnel, dus essentiellement à l'inexpérience dans les mises en forme protocolaires  des uns et à l'excès de zèle des autres.


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  • (LES incompétents aux postes névralgiques et les compétents écartés)  

                    (LES incompétents aux postes névralgiques et les        compétents écartés)

     PAR GUELMA LIBRE -A.M

    La chronique locale est concentrée ces jours-ci sur le secteur des biens de l’état et De la Conservation foncière de GUELMA.

    On commence par  le  chef du bureau  du personnel Par intérim Et en même temps président de la section syndical sous l’égide de L’UGTA des domaines de Guelma OU par son collègue  le   chef du Bureau d’expertise.

    On les retrouve avec les barrons du fonciers les faux mécènes qui pratiquent le Clientélisme Pour arriver à leur fruits.

    Notre direction des domaines de la wilaya de Guelma agonise Gérer par des Bureaucrates  qui ne peut se permettre de décider, que la dite direction se trouve A la Croisée des chemins c’est  qu’il ya une  responsabilité quelque par, les mis en cause sont Arrivés à se stade on ne vit pas dans une foret  sans issue ou dans une grotte , les circuits d’informations sans ouverts 24 sur 24 on peut les récolter une minute après un forfait , Et tout ce qui s’ensuit il faut réprimer  tous ceux qui sont responsable de prés ou de loin Et créer la culture du ne touche pas à ce que le passé prend parfois un gout amer , les Regrets donnent un sentiment d’incomplétude ou se mêlent culpabilité et désespoir  Quant à la gestion de notre administration on n’a jamais fait ce qu’il fallait du coté des Gestionnaires et la démission du citoyen  et son indifférence sur ce qui devrait fait pour Lui est en son nom regard passivement tout ce tumultueux paysage sans lendemain espoir Inassouvi ,le oui dire ,circule en ville que le premier monsieur possède ( 03) trois Logements une a la cite Rahabi  .ex .jerodan  la deuxièmes bâtiment en face La SNTV  de Guelma la troisième a baba Ahcen  Alger et a vendu une dans les hauteurs de la ville de Guelma cite CNEP , plus un lots de terrain dans les 1000 lots ce petit dans les années  1993 Fin a été muté de la direction des domaines de M’silla à Guelma en tant qu’ agent de Sécurité se trouve maintenant a la tète de se poste est quel et son salaire pour arrivé a se Stade d’une promotion et la meilleur il occupe le logement de fonction de conservateur , Sur quel droit …..?

    Et pour  l’autre  imposteur  le  chef de bureau  d’expertise  possède  un lot de terrain  de  1000 m2 a  belkheir  a construit un hangar   illicite  il    cherche de régler  son affaire a la Procédure 15/08    

    Pourquoi tant d’agitations  contre un nouveau conservateur à Guelma qui a changé les Méthodes de travail  et qui a coupé l’herbe sous les pieds des corrompus , l’anciennes équipes des domaines et de la Conservation foncier de Guelma    , tire les ficelles avec une femme qui Travaille aux services des domaines en manipulant le personnel féminin de la Conservation foncière  contre le nouveau  gestionnaire 

    Dont le logement de fonction est occupé illicitement par un agent de sécurité  promu Responsable des ressources humaines de la direction des biens de l’état de Guelma qui Est connu pour être un grand rédacteur de lettres  anonymes contre tous ceux qui Dérangent ses intérêts  mesquins .

    Et pour, la rumeur la malversation circule en ville, elle est devenue un sujet de Discussion partout, les responsables de ces actes sont comptés sur les doigts.

    Alors qu’ils veulent  apporter un correctif et mettre sur pied, ces deux services d’une Ville chef lieu de wilaya est géré par des agents de sécurité  la moindre importance et Que font les autres gestionnaires administratif  qui possède des bagages ce personne qu’il se Croîts qu’il vie à l’ombre, et personne ne Save leur jeux.

      Tout le monde demande une  ouverture d’enquête  sur ces deux  comédiens et leur  directeur  

    Nous souhaitons la mise en place des gens compétents  qui fera à l’avenir, impliquer la Classe intellectuelle, gérer avec elle par des avis rechaussés à la hauteur d’un véritable Développement  économique notre wilaya est très riche mais l’information se trouve Chez les compétents et se qui connaissent la réalité on peut créer, des clusters sur divers Domaines si j’en compte il ya une dizaine.


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