• Congrès du FLN

    Les principaux membres du nouveau Comité central du FLN

    17:44 dimanche 31 mai 2015 | Par Achira Mammeri ;@achiramammeri et Nadia Mellal | Actualité 
    congrès FLN TSA Algérie
     

    Le troisième et dernier jour du 10e Congrès du FLN a été marqué, ce samedi 30 mai, par l’élection des membres du Comité central. De nombreux ministres ont été élus, mais le Premier ministre Abdelmalek Sellal, qui a participé à ce congrès en tant que délégué, ne figure pas dans le nouveau Comité central.

    Garde rapprochée

    Parmi les principaux de cette instance souveraine entre deux congrès figurent plusieurs ministres dont Tayeb Louh (Justice), Tahar Khaoua (Relations avec le Parlement),  Abdelkader Messahel (Affaires maghrébines de l’Union africaine et de la Ligue arabe), Abdelmadjid Tebboune (Habitat), Abdelkader Kadi (Agriculture), Tahar Hadjar (Enseignement supérieur).

    Le Comité central compte également les fidèles à Amar Saâdani comme Djamel Ould Abbès, Said Barkat, Mustapha Mazouzi, Bahaeddine Tliba, Larbi Ould Khelifa, Mohamed Djemaï.

     

    Les principaux adversaires de Saâdani comme Abdelaziz Belkhadem, Abderrahmane Belayat ne figurent pas dans le nouveau Comité central.

    Saâdani : « La lettre du président est un important soutien »

    Dans son discours de clôture du Congrès, le Secrétaire général du FLN Amar Saâdani a salué « le gouvernement du militant Sellal ». Il a estimé que « la lettre du président Bouteflika constitue un important soutien pour nous et un appui clair dans la volonté de notre parti de jouer pleinement son rôle sur la scène politique ».

    Le patron du FLN a ajouté que cette lettre constitue « les fondements de la stratégie d’avenir du FLN ».

    Le nouveau Comité central compte 489 membres dont 130 ont été désignés par Amar Saâdani. Les autres membres ont été élus par les congressistes.


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  • PORTRAIT

    Biographie de décideur : Amar Saâdani, Secrétaire général du FLN

    17 h42  dimache 31 mai 2015 | Par Neila Latrous @Neila | Entretiens 
    Saadani-amar - TSA Algérie

    Né le 17 avril 1950 en Tunisie, Amar Saâdani est le Secrétaire général du FLN. Il a été réélu ce samedi 30 mai, à l’issue du Congrès du parti. Il était le seul candidat à sa succession. 

    « Je n’ai rien à ajouter à ce qui est écrit sur le site Internet de l’Assemblée Populaire Nationale. Il y a tout mon CV. » Omniprésent sur la scène politique, Amar Saâdani n’aime pas que les projecteurs soient braqués sur lui. Curieux paradoxe pour celui dont les phrases ont défrayé la chronique ces derniers mois.

    Né à Tunis en 1950, rien ne prédestinait ce fils de moudjahid à un destin national. L’homme grandit à El Oued, dans le sud du pays. Sa biographie officielle ne livre que peu de détails sur son enfance. Elle mentionne un baccalauréat littéraire. Des études de sciences politiques. Ses amis insistent surtout sur son parcours de militant. « Il a fondé l’un des premiers groupes d’autodéfense durant la décennie noire » glissent-ils. Un brevet de patriotisme, un vrai, pour laver l’affront de ceux qui le qualifient de vulgaire joueur de darbouka.

    En parallèle, l’homme évolue dans le syndicalisme. « Saâdani est un enfant de l’UGTA » soulignait Abdelmadjid Sidi Saïd en octobre 2013. Ses premiers combats, il les mène chez le géant pétrolier Sonatrach, plus précisément sa filiale Naftal. Il compte alors parmi les proches de Abdelhak Benhamouda, le secrétaire général de la centrale syndicale. Le 28 janvier 1997, ce dernier est abattu en pleine rue. Deux balles : une dans la nuque, l’autre près du cœur. Un choc pour Amar Saâdani. Son mentor ne le verra pas entrer cinq mois plus tard à l’Assemblée Populaire Nationale.

    Réélu en 2002, Amar Saâdani prend du galon au Parlement. En dix ans, il est président de la Commission des transports, puis vice-président, avant d’être désigné par ses pairs, le 23 juin 2004, président de l’APN. Fin manœuvrier, l’homme a aussi la réputation d’être un bourreau de travail. D’être agréable et de ne jamais s’énerver. « Il est zen en toutes circonstances. Vous ne le verrez pas s’emporter » témoigne l’un de ceux qu’il reçoit à son bureau d’Hydra.

    Coordonnateur général des comités de soutien au programme d’Abdelaziz Bouteflika, le discret Amar Saâdani disparaît des écrans radars entre 2007 et 2013. Il ne brigue pas de nouveau mandat de député. S’astreint à une cure médiatique. Que fait-il pendant ces cinq ans ? « Il s’occupe de sa famille », ose l’un de ses soutiens.

    Janvier 2013. Fin du silence. L’ancien président de l’APN démarre l’année grégorienne par une interview sur TSA. Alors que le pays est de nouveau la cible de terroristes, avec l’attaque du site gazier de Tiguentourine, Amar Saâdani tire à boulets rouges sur Abdelaziz Belkhadem et « ses ambitions présidentielles. » « Abdelaziz Belkhadem va perdre son poste » de Secrétaire général du FLN, prédit-il. Lui-même ne brigue pas le poste, et pousse la candidature du « frère Abderrezak Bouhara », sénateur et ancien ministre.

    Entre les lignes, Amar Saâdani pose aussi les bases de ses futures attaques contre le DRS. « Nous allons connaître une nouvelle ère marquée par deux principes fondamentaux : la liberté et la démocratie. Le flambeau sera transmis à la deuxième génération post-indépendance » professe-t-il. Le lendemain, Abdelaziz Belkhadem est destitué de son poste. Neuf jours plus tard, patatra ! Abderrezak Bouhara décède. De quoi contraindre Amar Saâdani à revoir ses plans. Il se jette dans la campagne pour diriger le parti.

    Le 1er septembre 2013, il devient le 11e Secrétaire général du FLN. Élection controversée : tous les candidats s’étant retirés avant le vote, Amar Saâdani est plébiscité à main levée. Une partie de la presse algérienne l’interprète comme « une reprise en main » du parti historique par le clan présidentiel. Lui voit dans les troubles qui agitent son couronnement une cabale organisée par ceux qu’il a osé attaquer : le renseignement intérieur.

    L’homme ne se démonte pas. Cinq mois plus tard, en février 2014, il s’en prend frontalement au Général Toufik. « Toufik aurait dû démissionner » tonne le nouveau Secrétaire général du FLN, qui lui reproche de n’avoir pas su éviter une série d’attaques et d’assassinats politiques. Il prévient : « Si un mal m’arrive, ce sera l’œuvre de Toufik. »

    Le percussionniste présumé a le sens du rythme. Chacune de ses sorties tombe à pic et provoque un séisme politique. Il serait protégé par Said Bouteflika, dont il est proche. Quand un site français lui attribue pour 300 millions d’euros d’achats immobiliers suspects en France, Amar Saâdani répond sans trembler. La presse algérienne reprend des informations venues de Paris ? « Je vous paye le billet d’avion pour Paris, et si vous ramenez la moindre trace, un numéro de compte, ou le nom de l’établissement bancaire, les 300 millions sont à vous » plaisante-il. Son avocat engage tout de même une action en diffamation contre le média source.

     

    Cogneur, Amar Saâdani ? Ses têtes de Turc, en tout cas, ne lui en tiennent pas rigueur. En mai 2015, le Premier ministre est au premier rang, comme une grande partie de son gouvernement.


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  • ENTRETIEN

    Abdelaziz Ziari : « Nous pensons créer un FLN canal historique »

    12:38  dimanche 31 mai 2015 | Par Nadia Mellal | Entretiens 
    Abdelaziz Ziari - TSA Algérie/ NewPress

    Abdelaziz Ziari, ancien président de l’APN, est l’un des animateurs du mouvement de contestation au FLN. Dans cet entretien, il s’exprime sur le soutien de Bouteflika à Amar Saâdani et l’avenir du mouvement de contestation.

    Le Congrès du FLN a finalement eu lieu. Quelle lecture faites-vous de cet évènement ?

    Ça ne fait que confirmer ce que j’ai dit avant le Congrès, à savoir que des fonctionnaires ont été intégrés dans le Comité central pour donner l’illusion qu’il y a une majorité gouvernementale. C’est un choix qui a été fait de considérer que les partis ne sont pas encore majeurs en tant que parti à proprement parler. Le parti ne doit pas simplement agir en tant qu’appareil et comité de soutien à l’action gouvernementale. On ne croit pas encore à la nécessité d’avoir des partis forts, organisés, qui soient au centre de la décision politique. A contrario, ce qui se passe au RND avec le retour d’Ouyahia à sa tête est le contre-exemple de ce qui se passe au FLN. Le retour d’Ouyahia est une excellente chose puisqu’il va renforcer le parti pour lui donner de la consistance. Ce n’est pas un hasard que devant cette dérive du FLN il y ait aussi des courants de pensée à l’intérieur de la classe politique qui prennent les devants pour repenser le RND afin d’en faire un parti qui a de la consistance.

    Le Congrès a apporté des changements fondamentaux aux statuts du FLN dont l’élargissement du CC et du BP et le fait que le CC ne se réunira qu’une fois par an. Quel est votre commentaire ?

    Cela confirme le fait que le FLN ne soit plus un parti mais simplement un comité de soutien. Ils n’ont donc pas besoin de réunir le CC pour les débats politiques, économiques, sociaux, diplomatiques et autres. Le CC se réunira seulement au moment des élections.

    Quelle lecture faites-vous de la lettre du président Bouteflika aux congressistes ?

    On s’est habitué à cela, ce sont les mêmes textes, à chaque fois. Ils font partie de la liturgie politique. Tous les congrès du FLN sont accompagnés d’une lettre du chef de l’État. Il n’y a rien de nouveau en réalité.

    Cette lettre du président a totalement ignoré la contestation. Qu’en pensez-vous ?

    C’est bien cela la liturgie. Je n’ai pas l’intention de commenter les propos du chef de l’État. C’est le premier responsable du pays, j’en prends acte seulement. En dehors de la liturgie habituelle, ce qui m’intéresse est d’avoir la confirmation qu’on considère actuellement que les partis ne sont pas mûrs pour exercer réellement le pouvoir. On ne fait pas confiance aux partis, on les considère comme mineurs et on ne leur attribue que le rôle de comité de soutien. C’est l’esprit du parti unique qui demeure.

     

    C’est au niveau du pouvoir ou des partis que cet esprit demeure ?

    Au niveau des rouages de l’État, de la classe politique, des décideurs algériens. C’est une culture politique qui ne fait pas confiance aux partis pour assumer leurs responsabilités en tant que partis.

    Des animateurs du mouvement de redressement doutent de la paternité de la lettre du président. En doutez-vous aussi ?

    C’est de la spéculation. Moi, j’en reste à ce que je lis et à ce que je vois. Ce qui m’importe est que ça soit officiel.

    Est-ce que la lettre du président va affaiblir la contestation ?

    L’objet de la contestation ne peut pas se lier à un homme. L’objet de la contestation est de dire qu’on veut un FLN solide, que le SG soit élu démocratiquement, dans la transparence et que le FLN participe effectivement à la décision politique.

    Quel est l’avenir du mouvement de contestation ?

    Nous sommes en train de réfléchir, avec beaucoup de cadres qui sont intéressés par l’avenir du FLN, d’envisager la possibilité de créer un FLN canal historique. Peut-être qu’on ne nous donnera pas l’autorisation de l’appeler ainsi mais, on a lancé l’idée de la création d’un parti qui reprendra le combat du FLN.

    Donc, les contestataires envisagent de créer un nouveau parti…

    Oui, c’est au stade de la réflexion. Mais nous avons lancé cette idée d’un parti qui reprendrait les idéaux du FLN authentique.


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  • Économie

    La dépréciation du dinar s’accélère : ces mesures que le gouvernement n’ose pas prendre pour stopper la saignée des devises

    16:55  dimanche 31 mai 2015 | Par Tewfik Abdelbari @Tewfikabdelbari | Actualité 
    Sellal TSA Algérie

    Le dinar poursuit sa descente aux enfers. Ce dimanche 31 mai, un euro cotait près de 110 dinars. Le dollar approche les 100 dinars. Malgré les protestations de la Banque d’Algérie et du gouvernement, nous sommes bien dans un processus de dépréciation politique de la monnaie nationale face aux principales devises. Si la valeur du dinar suivait une logique économique, elle se serait certes baissée face au dollar mais elle se serait dans le même temps appréciée face à l’euro. La monnaie unique européenne est en effet à des niveaux faibles face au billet vert.

    Les dangers d’une politique de dépréciation

    La Banque d’Algérie détermine la valeur du dinar à travers un mécanisme dit de flottement dirigé. La perte de valeur de la monnaie nationale depuis un an répond donc à une volonté « délibérée ». De ce point de vue, il s’agit d’une forme de dévaluation du dinar.

    Le but de la manœuvre est de mécaniquement renchérir les biens et les services importés : en effet, un dinar moins fort ne permet plus d’acheter la même quantité de produits. Ainsi, le gouvernement espère réduire la facture des importations et freiner la (sur)consommation des ménages.

    Mais attention. La baisse du dinar et du pouvoir d’achat des Algériens n’est pas sans effets néfastes. Le risque inflationniste pèse lourdement sur l’économie du pays. D’autant plus que la Banque d’Algérie ne dispose pas du levier des taux d’intérêts directeurs, inopérants, pour réguler l’inflation. Or, cette dernière peut s’avérer être un véritable poison pour l’économie du pays.

    Des pistes sérieuses pour sortir de l’impasse

    Pourtant, il existe des pistes bien plus sérieuses mais le gouvernement continue de les ignorer. Par manque de courage d’affronter les lobbies et les entreprises étrangères.

    Il est nécessaire de rappeler que les tentatives du gouvernement pour réduire les importations par des mesures administratives sont vouées à l’échec. Le gouvernement s’agite beaucoup mais dans les faits, il ne peut agir. L’État algérien est lié par des accords avec divers organismes comme le Fonds monétaire international (FMI) ou l’Union européenne (UE) qui l’empêchent d’entraver le libre commerce.

    Cependant, le gouvernement algérien dispose de plusieurs outils pour lutter efficacement contre l’augmentation incontrôlée des importations et la mise à mal des réserves de change du pays.

    Instaurer une TVA modulable

    Une mesure simple, efficace et en accord avec les engagements internationaux du pays : mettre en place un taux de taxe sur la valeur ajoutée (TVA) différencié pour les produits importés et les produits locaux.

    Une TVA élevée pour les importations et un taux réduit pour la production nationale permettrait de dissuader les achats à l’extérieur et réorienterait la consommation vers des produits « Made in Algeria », même de qualité moindre.

    Cela encouragerait, par la même occasion, les entreprises nationales productrices. Sans doute plus que des slogans et des affiches symboliques de la campagne « consommons algériens » à l’initiative du ministère du Commerce. Mais au lieu de prendre cette mesure, le gouvernement a préféré réintroduire le crédit à la consommation, pour tenir une promesse faite à Renault et au gouvernement français lors du lancement de la Symbol.

     

    Revoir certaines subventions

    Sans foncièrement les remettre en cause, les subventions pour certains produits méritent d’être revues. À titre d’exemple, un produit comme le sucre, malgré la baisse des prix sur le marché internationale (-50% depuis 2011), continue de bénéficier de l’exemption de TVA et de droits de douanes.

    Une bonne partie de la subvention sur le sucre profite à de grands industriels, notamment dans la production de boissons gazeuses (Coca Cola, Pepsi Cola…). Sans compter les effets néfastes sur la santé des Algériens.

    Plus généralement, l’actuel système de subvention mérite d’être revu. En l’état, il profite à tous, y compris ceux qui n’en ont pas besoin. Un égalitarisme aveugle qui, dans le fond, est loin d’être équitable.

    Lutter contre la surfacturation sous ses différentes formes

    La facture des importations de services en Algérie s’élève à près de 15 milliards de dollars, selon certaines sources. Il est pourtant difficile d’accéder au détail de cette facture. Ce qu’elle contient réellement est un mystère.

    Mais certains faits sont connus de tous, y compris des autorités. De nombreuses entreprises étrangères, notamment les concessionnaires automobiles, ont recours à la technique du profit shifting qui consiste à maximiser les marges réalisées à l’étranger et échapper ainsi à l’impôt en Algérie.

    De plus, il y a de nombreux cas de surfacturation intragroupe : les prix de transferts d’une entreprise algérienne (ou basée en Algérie) vers des sociétés à l’étranger, appartenant au même groupe sont souvent majorés pour permettre de transférer des devises en toute légalité.

    Salaires des expatriés

    Par ailleurs, les salaires des consultants et expatriés, présent en Algérie par dizaine de milliers, sont une autre source non négligeable de sortie de devises. Les montants facturés sont de 1 000 euros par jours au minimum (pour des postes juniors). Dans certains cas, comme pour les entreprises Renault ou Lafarge, l’on peut compter jusqu’à 4 000 euros par jour par consultant.

    Il s’agit ici de salaires transférables en devise. L’essentiel du top-management des entreprises étrangères en Algérie sont des expatriés. Y compris pour l’opérateur de téléphonie mobile Djezzy, récemment « nationalisé » par l’État.

    Des sanctions peu dissuasives et inappliquées

    Le gouvernement se doit donc de lutter contre ces « arnaques légales » en mettant en place des outils de régulation, de plafonnement (par exemple pour les salaires des expatriés) et de surveillance stricte.

    Cependant, les sanctions prévues par la réglementation actuelle ne sont pas dissuasives. Le cas de la Banque d’Algérie est édifiant. Il y a cinq ans, la banque centrale avait infligé un total de 1,5 milliards de dollars aux banques pour des transferts illicites et violation de la législation des changes. Les banques françaises étaient les premières concernées. Pourtant, elles ont toutes été annulées en appel. Comment ? Mystère.

     


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            UN SCHI ZOPHINE A La TETE DU BUREAU DE MAIN D’OEUVRE  de Guelma

     

    le 29 Mai 2015 à 12:56  .A.M

                               

    UN SCHI ZOPHINE A La TETE DU BUREAU DE MAIN D’OEUVRE  de Guelma

                    

    LE malheur  fait bien des choses  informiez  à brulé les étape ,de la hiérarchies et saute  à L’apicale  de la responsabilité, dans un secteur très sensible à savoir le travail (L’embauche )  UN bilan désastreux qu’est fait avec pu méditation  sans donner  l’importance à l’acte qui est Des plus ho dieux .     

    Ce monsieur s’est permis de violer  tous  les règlements  et lois de la république  avec la Complicité de certains responsables , véreux qui ne cherchent qu’a satisfaire leurs désirs. Toutes  les  demandes  de personnels  émanant  les employeurs  sont  déviées en  proposant  des gens qui ne répondent pas aux critères  , édictes par le règlement   et  circulaire du ministre de travail , et le système de  priorité est bafoue , il  n’embauche que celui qu’il  veut  la référence c’est le donnant  , dans toute son étendue , comment  un infirmier  renvoyé    des  services de la santé  de souk Ahras  est du bureau de main d’œuvre  de la wilaya          d’el-taraf  et de Skikda ce trouve à Guelma ,en  tant que responsable des bureaux de main d’œuvre , il faut une enquête minutieuse sur sa gestion désastreuse.

        Le deuxième volet est plus grave des retraités sont recrutes sont disant pour leur compétence , ils sont connus de la société aucun niveau d’instructions, (le primaire).

    Et surement  c’est une enquête est déclenchée  le pot au rose sera découvert peut le feu usage de faux est flagrant, ils ne se savent même pas baratiner leurs seules référence c’est un tel  et ou tel qui occupe une haute fonction sans aucun lieu ne s’approche en  un mot de bluff.

    La suite sa sera plus grave que sa

     

     


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